Commerces Chaussée de Huy Ouffet : Différence entre versions

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Au N° 4  Dès 1927,  Joseph Bellaire époux de Nelly Paulus organise un service de cars  entre Warzée, Ouffet et Esneux. Pour l’anecdote il y eu jusqu’à cinq cars portant tous des noms d’oiseaux : le Pélican, le Ramier, la Bécasse… En 1947, Joseph Bellaire acquiert deux avions : un Piper de l’armée anglaise récupéré et restauré et un Auster également d’origine anglaise, tous deux ayant servi au cours de la guerre pour l’observation ou le transport de personnes. Ces avions sont pilotés par Joseph Libert de Vien. Joseph  organise des baptêmes de l’air et des  meetings pour lesquels il reçoit en renfort d’autres avions et pilotes pour l’occasion. Ces démonstrations auraient attiré jusqu’à 2.500 personnes. L’activité a cessé en 1949 à cause de règles plus strictes sur les conditions d’exploitations et la location jugée usuraire du propriétaire du  terrain (on parle de 25.000 frs l’an de l’époque). Le terrain flanqué d’un hangar était aménagé « Sur Pierreux », un plateau à droite du chemin du Tô vers Himbe.  
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Au N° 4  Dès 1927,  Joseph Bellaire époux de Nelly Paulus organise un service de cars  entre Warzée, Ouffet et Esneux. Pour l’anecdote il y eu jusqu’à cinq cars portant tous des noms d’oiseaux : le Pélican, le Ramier, la Bécasse… En 1947, Joseph Bellaire acquiert deux avions : un Piper de l’armée anglaise récupéré et restauré et un Auster également d’origine anglaise, tous deux ayant servi au cours de la guerre pour l’observation ou le transport de personnes. Ces avions sont pilotés par Joseph Libert de Vien. Joseph  organise des baptêmes de l’air et des  meetings pour lesquels il reçoit en renfort d’autres avions et pilotes pour l’occasion. Ces démonstrations auraient attiré jusqu’à 2.500 personnes. L’activité a cessé en 1949, plusieurs causes en seraient à l'origine: des règles plus strictes sur les conditions d’exploitations, la location du terrain jugée usuraire et des frais d'exploitation dépassant les possibilités de rentrées d'argent par manque de clients. Le terrain flanqué d’un hangar était aménagé « Sur Pierreux », un plateau à droite du chemin du Tô vers Himbe.  
  
 
En 1960, Joseph et Nelly construisent une annexe à leur bâtiment, elle porte actuellement le N° 6. Au décès de Joseph, son fils Christian reprendra les rênes de l’entreprise, le service de bus sera abandonné pour faire place au développement des cars de tourisme. Les bureaux d’Ouffet Cars seront transférés au N° 10. Toujours au N° 4, dans la partie gauche du bâtiment, Chantal, la fille de Joseph et Nelly, tiendra un commerce de chaussures qu’elle cédera à Nadine Leroy qui transférera ensuite son activité Rue Sauvenière, 50. Après le déménagement de ce commerce, c’est la dentiste Bernadette Rompen qui installe son cabinet Rue Sauvenière, 47.  
 
En 1960, Joseph et Nelly construisent une annexe à leur bâtiment, elle porte actuellement le N° 6. Au décès de Joseph, son fils Christian reprendra les rênes de l’entreprise, le service de bus sera abandonné pour faire place au développement des cars de tourisme. Les bureaux d’Ouffet Cars seront transférés au N° 10. Toujours au N° 4, dans la partie gauche du bâtiment, Chantal, la fille de Joseph et Nelly, tiendra un commerce de chaussures qu’elle cédera à Nadine Leroy qui transférera ensuite son activité Rue Sauvenière, 50. Après le déménagement de ce commerce, c’est la dentiste Bernadette Rompen qui installe son cabinet Rue Sauvenière, 47.  

Version du 1 août 2017 à 17:37

Chaussée de Huy Walonmap

Au N° 4 Dès 1927, Joseph Bellaire époux de Nelly Paulus organise un service de cars entre Warzée, Ouffet et Esneux. Pour l’anecdote il y eu jusqu’à cinq cars portant tous des noms d’oiseaux : le Pélican, le Ramier, la Bécasse… En 1947, Joseph Bellaire acquiert deux avions : un Piper de l’armée anglaise récupéré et restauré et un Auster également d’origine anglaise, tous deux ayant servi au cours de la guerre pour l’observation ou le transport de personnes. Ces avions sont pilotés par Joseph Libert de Vien. Joseph organise des baptêmes de l’air et des meetings pour lesquels il reçoit en renfort d’autres avions et pilotes pour l’occasion. Ces démonstrations auraient attiré jusqu’à 2.500 personnes. L’activité a cessé en 1949, plusieurs causes en seraient à l'origine: des règles plus strictes sur les conditions d’exploitations, la location du terrain jugée usuraire et des frais d'exploitation dépassant les possibilités de rentrées d'argent par manque de clients. Le terrain flanqué d’un hangar était aménagé « Sur Pierreux », un plateau à droite du chemin du Tô vers Himbe.

En 1960, Joseph et Nelly construisent une annexe à leur bâtiment, elle porte actuellement le N° 6. Au décès de Joseph, son fils Christian reprendra les rênes de l’entreprise, le service de bus sera abandonné pour faire place au développement des cars de tourisme. Les bureaux d’Ouffet Cars seront transférés au N° 10. Toujours au N° 4, dans la partie gauche du bâtiment, Chantal, la fille de Joseph et Nelly, tiendra un commerce de chaussures qu’elle cédera à Nadine Leroy qui transférera ensuite son activité Rue Sauvenière, 50. Après le déménagement de ce commerce, c’est la dentiste Bernadette Rompen qui installe son cabinet Rue Sauvenière, 47.


L'entrée d'Ouffet venant de Huy-Warzée

Au N° 6 Nelly Paulus épouse de Joseph Bellaire exploitera un magasin de prêt à porter au rez de chaussée et au premier étage, une salle d’exposition de cuisines américaines. A la retraite de Nelly, le magasin de prêt à porter sera repris par son fils Thierry époux de Francine Ninane qui continuera le commerce quelques temps après le décès de son mari avant de céder l’espace à la fleuriste Marianne Guermant qui transférera ensuite son activité Rue Sauvenière, 41. Il y aura aussi un restaurant exploité par Edwine Bellaire, fille de Thierry et Francine puis de décembre 98 à fin 99 le funérarium, Pol Laffut avec, à l’entrée à gauche, un dépôt de fleurs exploité par Marianne Guermant déjà installée Rue Sauvenière, 41. Ces dernières activités ont duré à peine un an, ce sera ensuite et encore actuellement une pizzéria, la Casa Pizza.


Au N° 10 Un nouveau bâtiment, habitation de Christian Bellaire, cars de tourisme et ramassage scolaire : Les Transports du Condroz. En annexe, attenant à l’habitation, les bureaux de l’entreprise. A la fermeture de ceux-ci, plusieurs commerces se sont succédé. Guy Tournadre a équipé l’annexe en vue d’exploiter une friture qui n’a jamais ouvert. Greta Desmedt a fait un commerce de fleurs, son époux Claudy Ledoux faisait de la menuiserie et son atelier se situait Rue du Bout N° 6. Mireille Degrave a ensuite repris le commerce de fleurs pendant un certain temps avant de transférer son activité Rue Sauvenière N° 8. Ce fut ensuite un commerce de produits naturels exploité par Danielle Paterska. Actuellement l'expert comptable Benoît Marcourt en a fait ses bureaux.


Au N° 16 Evans Garden, Véronique Daco.


Au N° 18 Atelier de menuiserie et maisons à ossatures bois de Robert Marchal époux d’Anne Verjans.


Au N° 15 Dans un nouveau bâtiment, un commerce de la chaîne de magasins "Intermarché" qui fermera en septembre 2016 après seulement quelques années d'existence.


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