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<big>'''Z'''</big>éna a suivi l'école à Pair jusqu'à ses 14 ans, la famille comptant 10 enfants elle ne manquait pas d'occupation chez ses parents.<br>Pour gagner quelques sous elle allait, comme on disait alors « Au cul des vaches ».
 
<big>'''Z'''</big>éna a suivi l'école à Pair jusqu'à ses 14 ans, la famille comptant 10 enfants elle ne manquait pas d'occupation chez ses parents.<br>Pour gagner quelques sous elle allait, comme on disait alors « Au cul des vaches ».
  
 
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- Pendant la guerre ses parents cachent une juive. Ses frères et sœurs ont, malgré le danger, accepté d'emblée. Cette rescapée vit actuellement au Vénézuela et était toujours en contact avec la famille à l'époque de cet éloge.
 
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- Puis vient le mariage et les six enfants, donc la lessive (toujours à la main), la cuisine, le repassage le nettoyage ce qui ne laisse  guère place aux loisirs.   
 
- Puis vient le mariage et les six enfants, donc la lessive (toujours à la main), la cuisine, le repassage le nettoyage ce qui ne laisse  guère place aux loisirs.   
  
- Les enfants grandissent et elle se propose de travailler à l'iLC faisant la cuisine pour les nombreux élèves.  
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- Les enfants grandissent et elle se propose de travailler à l'ILC faisant la cuisine pour les nombreux élèves.  
 
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- Tous les jeudis jusqu’à maintenant encore, elle va faire les frites car il n’y a que Zéna pour en faire d’aussi bonnes !
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Malgré la grande famille dans le début des années 70 ils accueillent pour les vacances une petite Sylviane DEVILLE de Liège, issue d’un foyer en difficulté.
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- Tous les jeudis elle fait les frites car il n’y a que Zéna pour en faire d’aussi bonnes !
  
Malheureusement la mère déménage et Ferdinand et Zéna perde la trace de leur petite Sylvianne.  Ils aimeraient passer ici un message : « Sylvianne si tu te reconnais, si tu te souviens des vacances à Ouffet, prend contact avec nous ».Ils seraient tellement heureux de retrouver cette petite qu’ils appelaient « cocodé ».
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- Au début des années 70, cette déjà grande famille accueille pour les vacances une petite Sylviane DEVILLE de Liège, issue d’un foyer en difficulté.<br>Malheureusement la maman déménage et Ferdinand et Zéna perde la trace de leur petite Sylviane.  Ils aimeraient passer ici un message : « Sylviane si tu te reconnais, si tu te souviens des vacances à Ouffet, prend contact avec nous ».Ils auraient été tellement heureux de retrouver cette petite qu’ils avaient surnommé « Cocodé ».
  
  

Version du 10 novembre 2022 à 11:35

Braquet Ferdinand Ouffet

Ferdinand, permets-nous de t'appeler par ton prénom tout au long de cet page. Les Passeurs de Mémoire consultent si souvent tes précieuses archives que nous avons l’impression que tu es toujours parmi nous, que tu t'investis avec nous.

Ferdinand donc est né à Ouffet le 2 juin 1923, il est le fils de Théophile BRAQUET et de Mélina LOVENFOSSE. Il épouse le 10 juillet 1948 à l'église de Seny Zénaïde LECLERE dite Zéna née à Pair le 24 novembre 1924, de cet union naîtront six enfants.

Ne pouvant faire mieux, vous trouverez ci-dessous l'éloge faite au couple à l'occasion de leurs noces d'or :

Ferdinand fait ses études moyennes à Ouffet avec monsieur Emile Villers, il a deux sœurs et un frère.

- à 14 ans et demi, il devient apprenti tailleur de pierres aux carrières de Vien.

- de 1940 à 1945, il travaille aux hauts fourneaux aux usines Ougrée Marihaye. Il fait de la résistance à l'ennemi sans toutefois prévenir ses parents et n'en parlant à personne, même après la guerre.

- Après la guerre jusqu'en 1955, il travaille comme ardoisier pour le couvreur Simon du Tige d'Anthisnes à l'époque.
Comme il ne veut pas chômer un seul jour, au moment des intempéries, il travaille comme tailleur de pierres aux carrières Depauw à Ouffet.

- de 1955 jusqu'en 1979 date de sa prépension, il entre à Cockerill et réussit ainsi ce qu'il s'était promis : ne jamais chômer.

Au retour de ses différents travaux, il s'occupe avec passion de son potager pour nourrir sa grande famille et élève poules et lapins. Petit à petit, au fur et à mesure que les enfants s'en vont, le potager se transforme en un très beau jardin d'agrément.

- A sa prépension il s'investit fébrilement dans la recherche généalogique et devient peu à peu un archiviste bien connu. On l'appelle de toute la Belgique et de France. Il retrouve ses racines et celles de ses amis et connaissances.

Passionné par son terroir, l'histoire et la petite histoire d'Ouffet, il s'ingénie à retrouver les légendes s'y rapportant, vieux bâtiments, vieilles croix et fait avec Jean-Louis PREVOT un relevé de tous les lieux-dits du village. Ensemble, ils retrouvent les anciens chemins parcourant la campagne ouffetoise et souhaiteraient que les autorités communales les signalent en tant que chemins de promenade et en fassent respecter l'intégrité.

Zéna a suivi l'école à Pair jusqu'à ses 14 ans, la famille comptant 10 enfants elle ne manquait pas d'occupation chez ses parents.
Pour gagner quelques sous elle allait, comme on disait alors « Au cul des vaches ».

- Pendant la guerre ses parents cachent une juive. Ses frères et sœurs ont, malgré le danger, accepté d'emblée. Cette rescapée vit actuellement au Vénézuela et était toujours en contact avec la famille à l'époque de cet éloge.

- Puis vient le mariage et les six enfants, donc la lessive (toujours à la main), la cuisine, le repassage le nettoyage ce qui ne laisse guère place aux loisirs.

- Les enfants grandissent et elle se propose de travailler à l'ILC faisant la cuisine pour les nombreux élèves.

- Tous les jeudis elle fait les frites car il n’y a que Zéna pour en faire d’aussi bonnes !

- Au début des années 70, cette déjà grande famille accueille pour les vacances une petite Sylviane DEVILLE de Liège, issue d’un foyer en difficulté.
Malheureusement la maman déménage et Ferdinand et Zéna perde la trace de leur petite Sylviane. Ils aimeraient passer ici un message : « Sylviane si tu te reconnais, si tu te souviens des vacances à Ouffet, prend contact avec nous ».Ils auraient été tellement heureux de retrouver cette petite qu’ils avaient surnommé « Cocodé ».



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