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[[Fichier:Capture 243.JPG|vignette|Rue des Pahys 1 de 2 Walonmap]]
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=Modification de Rue des Pahys Ouffet=
Au N° 4 A partir de 1905, le forgeron François-Joseph Magis dit Eugène Magis époux de Marie-Jeanne Sauvage dite Florentine et son fils Fernand Magis époux de Marie Legros dite Laure  Legros habitaient cette maison. Ils étaient précédemment installés rue du Village entre les numéros 23 et 25. La forge de la rue des Pahys qui a été démolie se situait une trentaine de mètres plus haut à gauche, accolé au N° 6 qui, à cette époque, abritait l’école des filles. Elle a été exploitée par les Magis de 1905 à 1938. Gaston Haquet et son épouse Simone Xhenceval ont également habité ce N° 4 et Gaston a aussi exploité la forge.
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==Pahys (rue des)==
 
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[[Fichier:PM0179.71.jpg|vignette|gauche|Au n° 6, l'ancienne école des filles]]
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===Pour la petite histoire===
  
Au N° 8 Cette imposante habitation a été construite par Victor Monseur, maître de carrières (voir histoire des rues et lieux-dits... rue des Pahys). Henri Emmanuel Joseph Somzé en est devenu ensuite propriétaire, il aurait eu ou aurait été actionnaire d’une fabrique de brosses à Herstal. S’installera ensuite, le maître de carrières Jean Depauw époux d’Henriette Dhooghe.
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La rue des Pahys est relativement récente, les PV des conseils communaux entrevoient sa construction à partir de 1880, c'est en 1886 que le projet se concrétisera. Au fil du temps le i s'est mué en y.
Si Jean était toujours présent sur les chantiers, c’était Henriette, dite maman IV, qui prenait l’ensemble des décisions assurant ainsi la gestion de l’entreprise avec le comptable Joseph Hazée.
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En fin de journée, Joseph Léonard, contre maître appareilleur, venait prendre les plans des différents bâtiments et gros œuvres qu’il fallait approvisionner en pierres de taille. C’est de commun accord avec madame Dhooge que la mise en fabrication et la réalisation étaient lancées afin d’honorer les commandes.
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A partir de 1957, Joseph Léonard cède sa place à Louis Rasquin lui-même remplacé par Raymond Halleux. 
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Une des filles Depauw, Marie-Thérèse et son frère Jean prendront la suite des affaires.
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Les carrières seront ensuite reprises par le groupe Cop et Portier. En 2007, Jean Grillo achète la carrière pour devenir une entreprise qui portera le nom de GriPierres.
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L’immeuble est actuellement habité par un avocat.<br>
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<span style="background-color:yellow;">
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Dans le parc de cette maison se trouvent trois arbres qualifié de ''remarquables'' par la région wallonne [https://geoportail.wallonie.be/walonmap#BBOX=227889.0276789969,228194.3574563231,126029.51959350254,126168.4261213156 Voir carte des arbres remaquables].
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[[Fichier:PM0181.71.jpg|vignette|A gauche, actuel n°12 rue des Pahys et le carrefour avec la rue Mognée et Cuvelier]]
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[[Fichier:Capture 244.JPG|gauche|vignette|Rue des Pahys 2 de 2]]
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« Pahis » signifie mauvaises pâtures. « So les pahis » nous apprend qu'il existait, en 1784, des pâtures « vers le tilleul de Saint Jacques en la mougnée ». La Rue des Pahys rejoint effectivement la rue Mognée. Une [https://fr.wikipedia.org/wiki/Bourrelier '''bourrellerie'''] y existait grâce au grand nombre de chevaux de trait. La mécanisation fit disparaître les chevaux et la bourrellerie n'eut plus de raison d'être.
  
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La copie des différents PV et les photos du diaporama ci-dessous vous éclaireront à bien des points de vue, liaison du "Hameau de Hestrumont" avec le centre et la route à "Grande Communication" Huy - Hamoir, parcelles à bâtir, accès à l'école des filles érigée à cette époque, histoire de puits ...
  
Au N° 12 Epicerie, petit bazar, un commerce tenu par Emerance Collette puis par François Pibouleau époux de Juliette Dehard. On retrouve également ce dernier couple pour la même activité au N° 11 de la Rue de Hamoir (dans quel ordre ?) et enfin au N° 62 de la Rue du Village ce qui semble avoir été  leur dernière résidence.
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[[Fichier:PM0180.71.jpg|vignette|droite|La maison Victor MONSEUR aux environs de 1900]]
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===La maison MONSEUR===
  
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Une très belle demeure portant à l'heure actuelle le N°8 (2018) a été construite et successivement habitée par:
  
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1. '''Victor MONSEUR''' né le 7 juillet 1859 à Soumagne épouse le 10 octobre 1889 à Ouffet Marie Elodie MEDARD née le 10 novembre 1866 à Ouffet. Victor MONSEUR est ingénieur des mines et exploitera les carrières de la Baligaine et Ste-Barbe (voir rubrique des carrières). Victor MONSEUR fait construire cette imposante habitation et s'inscrit à la commune le 30 juillet 1891. Le couple Monseur - Médard aura un fils, Jules né le 27 juillet 1890 il meurt pour la patrie le 6 août 1918. Victor décède le 14 juillet 1913 à Ouffet et son épouse quitte le village le 5 janvier 1920. '''[[Monseur-Médard D107|Voir sépulture D107]]'''
  
Au N° 5 Un cordonnier sabotier, Hubert Mélon.
 
  
  
  
Au N° 13 Louis Prévot, époux de Henriette Vieuxjean  avait un commerce de matériaux de construction.
 
  
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[[Fichier:PMO 187.jpg|vignette|droite|Dynastie Somzé]]
  
  
Au N° 19 Boulangerie Coopérative Régionale, atelier et épicerie.
 
Pendant la guerre de 1940-45, la boulangerie était dirigée par César Genot, bourgmestre d’Ouffet et père de Joseph Genot qui sera conseiller communal. Ils ont tous deux, successivement, habités au 44 de la rue Sauvenière.
 
L’atelier était équipé par deux grands fours chauffés aux briquettes.
 
La fabrication du pain et de la pâtisserie était réalisée par Modeste Hansotte, Maurice Vroonen, Lucien Delvaux et Fernand Pirotte que l’on retrouvera plus loin au 8 de la rue Halbadet. Tout ce petit monde se donnait à fond pour réaliser des produits de qualité.
 
Dans un second temps, la direction sera assurée par Marcel Masset époux d’Emerance Peetersil. La boulangerie cessera ses activités dans les années 50.
 
Le bâtiment, laissé à l’abandon pendant plus de 10 ans, a été squatté par des ferrailleurs. Ensuite, la firme française,  Engema, spécialisée dans la pose des lignes aériennes à haute tension a occupé les lieux.
 
Actuellement, Robert Marchal, ébéniste et son épouse Anne Verjans occupent l’immeuble et y font une salle d’exposition. Ils y installent également un atelier  qu’ils transféreront par la suite Chaussée de Huy dans une nouvelle construction.
 
  
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2. Venant de Liège rue des Anglais, prennent possession des lieux le 19 septembre 1920, '''Henri Emmanuel Joseph SOMZÉ et sa sœur Henriette Emma dite Marguerite.''' Tous deux semblent être célibataires et renseignés rentiers dès leur arrivée à Ouffet. Henri SOMZE a des liens avec une manufacture de brosses installée à Herstal, il est né le 12 juin 1887 à Liège et décède à Ouffet le 3 mai 1945. Marguerite est née à Liège le 27 décembre 1880 et décède à [https://fr.wikipedia.org/wiki/Thimister-Clermont '''Thimister'''].
  
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De 1921 à 1930, la maison porte le N° 300 et de 1931 à 1940 le N° 296.
  
Au N° 23 Un entrepreneur,  Albert Lamotte époux de Marie-Louise Rasquin. Il s’expatriera au Congo Belge. Il y a eu ensuite Eli Henry époux de Maria Vanderdooren, dite Maria aux poules, taxi, transports, grains, nourritures pour le bétail. Le chauffagiste Jean-Pierre Louveau s’est ensuite installé quelques temps à cette adresse avant de déménager son atelier Rue Aux Oies N° 2.
 
  
  
  
Au N° 25 Frédéric Ruthy, maréchal ferrant, il emménagera ensuite à Sparmont en 2016.
 
  
  
'''Retour aux _____ [[Commerces et artisanats Ouffet]] _____ ou aux _____ [[Rues, lieux-dits, curiosités Ouffet]] _____ ou aux _____[[Passeurs de mémoire d'Ouffet : Patrimoine et Histoire|Passeurs de Mémoire]]'''
 
  
[[Catégorie: Ouffet]] [[Catégorie:Commerce]]
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3. '''Jean DEPAUW et son épouse Henriette d'HOOGE''' arrivent à Ouffet le 6 novembre 1945. Ils viennent de '''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Landegem Landegem]''' près de Gand et s'installent dans les lieux. Jean Depauw est maître de carrières (voir rubrique des carrières). La propriété est vendue vers 1983 et les familles Depauw encore présentes à Ouffet quitte vers 2004.
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4. Viennent ensuite '''Michel DELAXHE et son épouse Monique PERILLEUX''' qui occuperont la propriété jusqu'en ????
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5. C'est actuellement, en 2018, depuis ????, la résidence privée et les bureaux de maître '''Jean-Marc HUSSON''', avocat.
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[[Fichier:Arbres remarquable Pahys.71.jpg|vignette|120px|gauche|Extrait de géoportail wallon]]
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Dans le parc de cette maison se trouvent trois arbres qualifié de ''remarquables'' par la région wallonne <ref>Base de données AHREM : Arbres et Haies REMarquables </ref> :<br>
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18/1 Hêtre pourpre<br>
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===L'école des filles===
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Recherches en cours
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===Les archives===
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===Le diaporama===
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PM0177.71.jpg|Depuis la rue du Village
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PM0175.71.jpg|Depuis la rue du Village
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PM0185.71.jpg|Depuis la rue du Village
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PM0184.71.jpg|Descente vers la rue du Village
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PM0176.71.jpg|L'ancienne école des filles
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PM0179.71.jpg|L'ancienne école des filles
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PM0186.71.jpg|A droite en allant vers la rue Hestrumont, les anciens ateliers de boulangerie de la Coopérative
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PM0183.71.jpg|Les anciens ateliers de boulangerie de la Coopérative
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PM0181.71.jpg|En face, la rue Hestrumont. A gauche, la rue Mognée. A droite, la rue Cuvelier.
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PM0180.71.jpg|La maison Monseur vers 1890
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'''Retour aux _____ [[Rues, lieux-dits, curiosités Ouffet]] _____ [[Passeurs de mémoire d'Ouffet : Patrimoine et Histoire]] _____ ou à la _____ [http://www.wikihuy.be/index.php?title=Cat%C3%A9gorie:Ouffet Liste des pages]'''
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[[Fichier:Capture 243.JPG|vignette|Rue des Pahys 1 de 2 Walonmap]]

Version actuelle en date du 21 novembre 2022 à 14:52

Modification de Rue des Pahys Ouffet

Pahys (rue des)

Pour la petite histoire

La rue des Pahys est relativement récente, les PV des conseils communaux entrevoient sa construction à partir de 1880, c'est en 1886 que le projet se concrétisera. Au fil du temps le i s'est mué en y.

« Pahis » signifie mauvaises pâtures. « So les pahis » nous apprend qu'il existait, en 1784, des pâtures « vers le tilleul de Saint Jacques en la mougnée ». La Rue des Pahys rejoint effectivement la rue Mognée. Une bourrellerie y existait grâce au grand nombre de chevaux de trait. La mécanisation fit disparaître les chevaux et la bourrellerie n'eut plus de raison d'être.

La copie des différents PV et les photos du diaporama ci-dessous vous éclaireront à bien des points de vue, liaison du "Hameau de Hestrumont" avec le centre et la route à "Grande Communication" Huy - Hamoir, parcelles à bâtir, accès à l'école des filles érigée à cette époque, histoire de puits ...

La maison Victor MONSEUR aux environs de 1900

La maison MONSEUR

Une très belle demeure portant à l'heure actuelle le N°8 (2018) a été construite et successivement habitée par:

1. Victor MONSEUR né le 7 juillet 1859 à Soumagne épouse le 10 octobre 1889 à Ouffet Marie Elodie MEDARD née le 10 novembre 1866 à Ouffet. Victor MONSEUR est ingénieur des mines et exploitera les carrières de la Baligaine et Ste-Barbe (voir rubrique des carrières). Victor MONSEUR fait construire cette imposante habitation et s'inscrit à la commune le 30 juillet 1891. Le couple Monseur - Médard aura un fils, Jules né le 27 juillet 1890 il meurt pour la patrie le 6 août 1918. Victor décède le 14 juillet 1913 à Ouffet et son épouse quitte le village le 5 janvier 1920. Voir sépulture D107



Dynastie Somzé


2. Venant de Liège rue des Anglais, prennent possession des lieux le 19 septembre 1920, Henri Emmanuel Joseph SOMZÉ et sa sœur Henriette Emma dite Marguerite. Tous deux semblent être célibataires et renseignés rentiers dès leur arrivée à Ouffet. Henri SOMZE a des liens avec une manufacture de brosses installée à Herstal, il est né le 12 juin 1887 à Liège et décède à Ouffet le 3 mai 1945. Marguerite est née à Liège le 27 décembre 1880 et décède à Thimister.

De 1921 à 1930, la maison porte le N° 300 et de 1931 à 1940 le N° 296.




3. Jean DEPAUW et son épouse Henriette d'HOOGE arrivent à Ouffet le 6 novembre 1945. Ils viennent de Landegem près de Gand et s'installent dans les lieux. Jean Depauw est maître de carrières (voir rubrique des carrières). La propriété est vendue vers 1983 et les familles Depauw encore présentes à Ouffet quitte vers 2004.

4. Viennent ensuite Michel DELAXHE et son épouse Monique PERILLEUX qui occuperont la propriété jusqu'en ????

5. C'est actuellement, en 2018, depuis ????, la résidence privée et les bureaux de maître Jean-Marc HUSSON, avocat.


Extrait de géoportail wallon

Dans le parc de cette maison se trouvent trois arbres qualifié de remarquables par la région wallonne [1] :

18/1 Hêtre pourpre
18/2 Marronnier d'Inde
18/3 Buis commun


  1. Base de données AHREM : Arbres et Haies REMarquables



PM0176.71.jpg

L'école des filles

Recherches en cours


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