Commerces Rue des Pahys Ouffet : Différence entre versions

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Au N° 4 A partir de 1905, le forgeron François-Joseph Magis dit Eugène Magis époux de Marie-Jeanne Sauvage dite Florentine et son fils Fernand Magis époux de Marie Legros dite Laure Legros habitaient cette maison. Ils étaient précédemment installés rue du Village entre les numéros 23 et 25. La forge de la rue des Pahys qui a été démolie se situait une trentaine de mètres plus haut à gauche, accolé au N° 6 qui, à cette époque, abritait l’école des filles. Elle a été exploitée par les Magis de 1905 à 1938. Gaston Haquet et son épouse Simone Xhenceval ont également habité ce N° 4 et Gaston a aussi exploité la forge.
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Au N° 4 A partir de 1905, le forgeron François-Joseph MAGIS dit Eugène époux de Marie-Jeanne SAUVAGE dite Florentine et son fils Fernand MAGIS époux de Marie LEGROS dite Laure habitaient cette maison. Ils étaient précédemment installés rue du Village entre les numéros 23 et 25. La forge de la rue des Pahys qui a été démolie se situait une trentaine de mètres plus haut à gauche, accoléE au N° 6 qui, à cette époque, abritait l’école des filles. Elle a été exploitée par les MAGIS de 1905 à 1938.  
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Gaston HAQUET et son épouse Simone XHENSEVAL ont également habité ce N° 4 et Gaston a aussi exploité la forge.
 
    
 
    
 
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Au N° 8 Cette imposante habitation a été construite par Victor Monseur, maître de carrières (voir histoire des rues et lieux-dits... rue des Pahys). Henri Emmanuel Joseph Somzé en est devenu ensuite propriétaire, il aurait eu ou aurait été actionnaire d’une fabrique de brosses à Herstal. S’installera ensuite, le maître de carrières Jean Depauw époux d’Henriette Dhooghe.  
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Au N° 8 Cette imposante habitation a été construite par Victor MONSEUR, maître de carrières (voir histoire des rues et lieux-dits... rue des Pahys).  
Si Jean était toujours présent sur les chantiers, c’était Henriette, dite maman IV, qui prenait l’ensemble des décisions assurant ainsi la gestion de l’entreprise avec le comptable Joseph Hazée.
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En fin de journée, Joseph Léonard, contre maître appareilleur, venait prendre les plans des différents bâtiments et gros œuvres qu’il fallait approvisionner en pierres de taille. C’est de commun accord avec madame Dhooge que la mise en fabrication et la réalisation étaient lancées afin d’honorer les commandes.
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Henri Emmanuel Joseph SOMZE en est devenu ensuite propriétaire, il aurait eu ou aurait été actionnaire d’une fabrique de brosses à Herstal.  
A partir de 1957, Joseph Léonard cède sa place à Louis Rasquin lui-même remplacé par Raymond Halleux.   
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Une des filles Depauw, Marie-Thérèse et son frère Jean prendront la suite des affaires.  
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S’installera ensuite, le maître de carrières Jean DEPAUW époux d’Henriette DHOOGHE. Si Jean était toujours présent sur les chantiers, c’était Henriette, dite maman IV, qui prenait l’ensemble des décisions assurant ainsi la gestion de l’entreprise avec le comptable Joseph HAZEE.
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En fin de journée, Joseph LEONARD, contre maître appareilleur, venait prendre les plans des différents bâtiments et gros œuvres qu’il fallait approvisionner en pierres de taille. C’est de commun accord avec madame DHOOGHE que la mise en fabrication et la réalisation étaient lancées afin d’honorer les commandes.
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A partir de 1957, Joseph LEONARD cède sa place à Louis RASQUIN lui-même remplacé PLUS TARD par Raymond HALLEUX.   
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Une des filles DEPAUW, Marie-Thérèse et son frère Jean prendront la suite des affaires.  
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Les carrières seront ensuite reprises par le groupe Cop et Portier. En 2007, Jean Grillo achète la carrière pour devenir une entreprise qui portera le nom de GriPierres.
 
Les carrières seront ensuite reprises par le groupe Cop et Portier. En 2007, Jean Grillo achète la carrière pour devenir une entreprise qui portera le nom de GriPierres.
L’immeuble est actuellement habité par un avocat.
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Actuellement, 2020, l'immeuble est habité par un avocat qui y a également installé son bureau.
  
 
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Au N° 12 Epicerie, petit bazar, un commerce tenu par Emerance Collette puis par François Pibouleau époux de Juliette Dehard. On retrouve également ce dernier couple pour la même activité au N° 11 de la Rue de Hamoir (dans quel ordre ?) et enfin au N° 62 de la Rue du Village ce qui semble avoir été  leur dernière résidence.
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Au N° 12 Epicerie, petit bazar, un commerce tenu par Emerance COLLETTE puis par François PIBOULEAU époux de Juliette DEHARRE. On retrouve également ce dernier couple pour la même activité au N° 11 de la Rue de Hamoir (dans quel ordre ?) et enfin au N° 62 de la Rue du Village ce qui semble avoir été  leur dernière résidence. Ils reposent '''[[Pibouleau-Deharre NC601|tombe NC601]]''' dans le nouveau cimetière d'Ouffet.
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Au N° 5 Un cordonnier sabotier, Hubert Mélon.
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Au N° 5 Un cordonnier sabotier, Hubert MELON.
  
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Au N° 13 Louis PREVOT, époux de Henriette VIEUXJEAN  avait un commerce de matériaux de construction.
  
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[[Fichier:PM0183.71.jpg|300x300px|vignette|droite|L'entrée de l'atelier rue des Pahys]]
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Au N° 19 Atelier de boulangerie de la Coopérative La Fraternité.
  
Au N° 13 Louis Prévot, époux de Henriette Vieuxjean avait un commerce de matériaux de construction.
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Auparavant, l’atelier était situé '''[[Commerces Rue du Village Ouffet|Rue du Village]]''' derrière l'épicerie de la '''[[Maison du Peuple Ouffet|Coopérative La Fraternité]]''', en face de la '''[[Maison du Peuple Ouffet|Maison du Peuple]]''' avant de migrer derrière celle-ci dans de vastes bâtiments avec entrée par cette Rue des Pahys.
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Pendant la guerre de 1940-45, la boulangerie est dirigée par César GENOT qui y perdra accidentellement la vie. Bourgmestre d’Ouffet et père de '''Joseph GENOT''', qui sera conseiller et échevin communal. César et Joseph  ont tous deux, successivement, habités au 44 de la '''[[Rue Sauvenière Ouffet|Rue Sauvenière]]'''.  
  
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L’atelier était équipé par deux grands fours chauffés aux briquettes. La fabrication du pain et de la pâtisserie était réalisée entre autres, par Modeste HANSOTTE, Maurice VROONEN, Lucien DELVAUX et Fernand PIROTTE...  Tout ce petit monde se donnait à fond pour réaliser des produits de qualité.
  
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Il n'y avait pas de magasin, une camionnette conduite par Eli XHENCEVAL d'Ouffet époux de Bertha RONVAL assurait les tournées.
  
Au N° 19 Boulangerie Coopérative Régionale, atelier et épicerie.
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Dans un second temps, la direction sera assurée par Marcel MASSET époux d’Emerance PEETERSIL. La boulangerie cessera ses activités dans les années 1980.
Pendant la guerre de 1940-45, la boulangerie était dirigée par César Genot, bourgmestre d’Ouffet et père de Joseph Genot qui sera conseiller communal. Ils ont tous deux, successivement, habités au 44 de la rue Sauvenière.
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L’atelier était équipé par deux grands fours chauffés aux briquettes.
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La fabrication du pain et de la pâtisserie était réalisée par Modeste Hansotte, Maurice Vroonen, Lucien Delvaux et Fernand Pirotte que l’on retrouvera plus loin au 8 de la rue Halbadet. Tout ce petit monde se donnait à fond pour réaliser des produits de qualité.
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Dans un second temps, la direction sera assurée par Marcel Masset époux d’Emerance Peetersil. La boulangerie cessera ses activités dans les années 50.
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Le bâtiment, laissé à l’abandon pendant plus de 10 ans, a été squatté par des ferrailleurs. Ensuite, la firme française,  Engema, spécialisée dans la pose des lignes aériennes à haute tension a occupé les lieux.
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Actuellement, Robert Marchal, ébéniste et son épouse Anne Verjans occupent l’immeuble et y font une salle d’exposition. Ils y installent également un atelier  qu’ils transféreront par la suite Chaussée de Huy dans une nouvelle construction.
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PM 47.71.jpg
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Pahys 49.71.jpg|L'atelier avec, dans le fond à droite, les deux fours chauffés aux briquettes.
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Boulangerie_coop_atelier_01_(3).71.jpg|A gauche, le '''[http://www.paincroquant.com/blutage.php blutoir]''' et à droite une trémie.
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Genot César 1937.jpg|César Genot à droite
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Le bâtiment, laissé à l’abandon pendant plus de 10 ans, est alors squatté par des ferrailleurs. Ensuite, la firme française,  ENGEMA, spécialisée dans la pose des lignes aériennes à haute tension occupera les lieux.
  
Au N° 23 Un entrepreneur, Albert Lamotte époux de Marie-Louise Rasquin. Il s’expatriera au Congo Belge. Il y a eu ensuite Eli Henry époux de Maria Vanderdooren, dite Maria aux poules, taxi, transports, grains, nourritures pour le bétail. Le chauffagiste Jean-Pierre Louveau s’est ensuite installé quelques temps à cette adresse avant de déménager son atelier Rue Aux Oies N° 2.  
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S'y installera ensuite Robert MARCHAL, ébéniste, et son épouse Anne VERJANS. Ils occupent l’immeuble et y font une salle d’exposition. Ils y installent également un atelier qu’ils transfèrent par la suite '''[[Chaussée de Huy Ouffet|Chaussée de Huy]]''' dans une nouvelle construction. Robert et Anne restent domiciliés au 19 jusque l'âge de la pension de Robert fin 2021.
  
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Les bâtiments sont alors acquis par un courtier en assurances, Arnaud MASSIN, qui y installe ses bureaux en 2022.
  
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Au N° 23 Un entrepreneur,  Albert LAMOTTE époux de Marie-Louise RASQUIN. Il s’expatriera au Congo Belge. Il y a eu ensuite Eli HENRY époux de Maria VANDERDOOREN, dite Maria aux poules, taxi, transports, grains, nourritures pour le bétail. Le chauffagiste Jean-Pierre LOUVEAU s’est ensuite installé quelques temps à cette adresse avant de déménager son atelier Rue Aux Oies N° 2.
  
Au N° 25 Frédéric Ruthy, maréchal ferrant, il emménagera ensuite à Sparmont en 2016.
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Au N° 25 Frédéric RUTHY, maréchal ferrant, il emménagera ensuite à Sparmont en 2016.
  
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[[Catégorie: Ouffet]] [[Catégorie:Commerce]]

Version actuelle en date du 30 janvier 2024 à 10:50

Rue des Pahys 1 de 2 Walonmap

Au N° 4 A partir de 1905, le forgeron François-Joseph MAGIS dit Eugène époux de Marie-Jeanne SAUVAGE dite Florentine et son fils Fernand MAGIS époux de Marie LEGROS dite Laure habitaient cette maison. Ils étaient précédemment installés rue du Village entre les numéros 23 et 25. La forge de la rue des Pahys qui a été démolie se situait une trentaine de mètres plus haut à gauche, accoléE au N° 6 qui, à cette époque, abritait l’école des filles. Elle a été exploitée par les MAGIS de 1905 à 1938.

Gaston HAQUET et son épouse Simone XHENSEVAL ont également habité ce N° 4 et Gaston a aussi exploité la forge.

Au n° 6, l'ancienne école des filles


Au N° 8 Cette imposante habitation a été construite par Victor MONSEUR, maître de carrières (voir histoire des rues et lieux-dits... rue des Pahys).

Henri Emmanuel Joseph SOMZE en est devenu ensuite propriétaire, il aurait eu ou aurait été actionnaire d’une fabrique de brosses à Herstal.

S’installera ensuite, le maître de carrières Jean DEPAUW époux d’Henriette DHOOGHE. Si Jean était toujours présent sur les chantiers, c’était Henriette, dite maman IV, qui prenait l’ensemble des décisions assurant ainsi la gestion de l’entreprise avec le comptable Joseph HAZEE.

En fin de journée, Joseph LEONARD, contre maître appareilleur, venait prendre les plans des différents bâtiments et gros œuvres qu’il fallait approvisionner en pierres de taille. C’est de commun accord avec madame DHOOGHE que la mise en fabrication et la réalisation étaient lancées afin d’honorer les commandes.


A partir de 1957, Joseph LEONARD cède sa place à Louis RASQUIN lui-même remplacé PLUS TARD par Raymond HALLEUX. Une des filles DEPAUW, Marie-Thérèse et son frère Jean prendront la suite des affaires.

Les carrières seront ensuite reprises par le groupe Cop et Portier. En 2007, Jean Grillo achète la carrière pour devenir une entreprise qui portera le nom de GriPierres.

Actuellement, 2020, l'immeuble est habité par un avocat qui y a également installé son bureau.

A gauche, actuel n°12 rue des Pahys et le carrefour avec la rue Mognée et Cuvelier
Rue des Pahys 2 de 2



Au N° 12 Epicerie, petit bazar, un commerce tenu par Emerance COLLETTE puis par François PIBOULEAU époux de Juliette DEHARRE. On retrouve également ce dernier couple pour la même activité au N° 11 de la Rue de Hamoir (dans quel ordre ?) et enfin au N° 62 de la Rue du Village ce qui semble avoir été leur dernière résidence. Ils reposent tombe NC601 dans le nouveau cimetière d'Ouffet.





Au N° 5 Un cordonnier sabotier, Hubert MELON.

Au N° 13 Louis PREVOT, époux de Henriette VIEUXJEAN avait un commerce de matériaux de construction.

L'entrée de l'atelier rue des Pahys

Au N° 19 Atelier de boulangerie de la Coopérative La Fraternité.

Auparavant, l’atelier était situé Rue du Village derrière l'épicerie de la Coopérative La Fraternité, en face de la Maison du Peuple avant de migrer derrière celle-ci dans de vastes bâtiments avec entrée par cette Rue des Pahys.

Pendant la guerre de 1940-45, la boulangerie est dirigée par César GENOT qui y perdra accidentellement la vie. Bourgmestre d’Ouffet et père de Joseph GENOT, qui sera conseiller et échevin communal. César et Joseph ont tous deux, successivement, habités au 44 de la Rue Sauvenière.

L’atelier était équipé par deux grands fours chauffés aux briquettes. La fabrication du pain et de la pâtisserie était réalisée entre autres, par Modeste HANSOTTE, Maurice VROONEN, Lucien DELVAUX et Fernand PIROTTE... Tout ce petit monde se donnait à fond pour réaliser des produits de qualité.

Il n'y avait pas de magasin, une camionnette conduite par Eli XHENCEVAL d'Ouffet époux de Bertha RONVAL assurait les tournées.

Dans un second temps, la direction sera assurée par Marcel MASSET époux d’Emerance PEETERSIL. La boulangerie cessera ses activités dans les années 1980.

Le bâtiment, laissé à l’abandon pendant plus de 10 ans, est alors squatté par des ferrailleurs. Ensuite, la firme française, ENGEMA, spécialisée dans la pose des lignes aériennes à haute tension occupera les lieux.

S'y installera ensuite Robert MARCHAL, ébéniste, et son épouse Anne VERJANS. Ils occupent l’immeuble et y font une salle d’exposition. Ils y installent également un atelier qu’ils transfèrent par la suite Chaussée de Huy dans une nouvelle construction. Robert et Anne restent domiciliés au 19 jusque l'âge de la pension de Robert fin 2021.

Les bâtiments sont alors acquis par un courtier en assurances, Arnaud MASSIN, qui y installe ses bureaux en 2022.

Au N° 23 Un entrepreneur, Albert LAMOTTE époux de Marie-Louise RASQUIN. Il s’expatriera au Congo Belge. Il y a eu ensuite Eli HENRY époux de Maria VANDERDOOREN, dite Maria aux poules, taxi, transports, grains, nourritures pour le bétail. Le chauffagiste Jean-Pierre LOUVEAU s’est ensuite installé quelques temps à cette adresse avant de déménager son atelier Rue Aux Oies N° 2.

Au N° 25 Frédéric RUTHY, maréchal ferrant, il emménagera ensuite à Sparmont en 2016.

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