Nikà : Différence entre versions

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Tombée dans les couleurs à la naissance, grâce à sa mère, son grand-père et son arrière-grand-père, Nikà (de son vrai nom Véronique Greborio) apprend différentes techniques, en autodidacte. Un bref passage à l’Atelier Garance, durant les années 90, l’aide à faire quelques expositions locales.
 
Tombée dans les couleurs à la naissance, grâce à sa mère, son grand-père et son arrière-grand-père, Nikà (de son vrai nom Véronique Greborio) apprend différentes techniques, en autodidacte. Un bref passage à l’Atelier Garance, durant les années 90, l’aide à faire quelques expositions locales.
 
Une collaboration avec le CREAM lui ouvre les portes d’une exposition au Japon et en Islande.  
 
Une collaboration avec le CREAM lui ouvre les portes d’une exposition au Japon et en Islande.  
 
Soutenant les Droits Humains et féministe, elle s’éloigne  de sa passion.  
 
Soutenant les Droits Humains et féministe, elle s’éloigne  de sa passion.  
 
Après une traversée du désert d’une quinzaine d’années, elle reprend pinceaux, huiles, pastels pour exprimer ses états d’âme sans complaisance.
 
Après une traversée du désert d’une quinzaine d’années, elle reprend pinceaux, huiles, pastels pour exprimer ses états d’âme sans complaisance.
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Version actuelle en date du 14 octobre 2014 à 08:10

Nikà

Profondo rosso - Respire un bon coup ...

Tombée dans les couleurs à la naissance, grâce à sa mère, son grand-père et son arrière-grand-père, Nikà (de son vrai nom Véronique Greborio) apprend différentes techniques, en autodidacte. Un bref passage à l’Atelier Garance, durant les années 90, l’aide à faire quelques expositions locales. Une collaboration avec le CREAM lui ouvre les portes d’une exposition au Japon et en Islande. Soutenant les Droits Humains et féministe, elle s’éloigne de sa passion. Après une traversée du désert d’une quinzaine d’années, elle reprend pinceaux, huiles, pastels pour exprimer ses états d’âme sans complaisance.