Cimetières Ouffet : Différence entre versions
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− | Utilisé pour la première fois en 1936, on y accède par une nouvelle entrée qui donne directement sur la rue Aux Oies. En face de la grille, une allée plein nord conduit à un petit bâtiment pompeusement baptisé la morgue et sépare donc le vieux cimetière à droite du nouveau à gauche à l'exception de quelques tombes de 1 à 21 à droite le long du mur de la rue Aux Oies. | + | Utilisé pour la première fois en 1936, on y accède par une nouvelle entrée qui donne directement sur la rue Aux Oies.<br>En face de la grille, une allée plein nord conduit à un petit bâtiment pompeusement baptisé la morgue et sépare donc le vieux cimetière à droite du nouveau à gauche à l'exception de quelques tombes de 1 à 21 à droite le long du mur de la rue Aux Oies. |
En 2022, on y dénombre plus de 660 sépultures et emplacements numérotés. | En 2022, on y dénombre plus de 660 sépultures et emplacements numérotés. |
Version du 21 octobre 2022 à 16:09
Sommaire
Ce que dit le Service Public de Wallonie à propos des cimetières
Préface
Ouffet, pays de grès et de granit, nous a donné des artisans tailleur de pierre incroyablement doués.
La tristesse d’un deuil a toujours inspiré la création. Ces archives de pierre qui jalonnent notre ancien cimetière, ce sont, en les façonnant, nos artisans qui s’y sont écorché le cœur et les mains.
Si les noms apparaissant sur ces monuments funéraires ne nous disent pas grand-chose, la beauté, la finesse, la force des sculptures parlent à notre âme.
Ces œuvres, devenues chefs-d’œuvre, ont été créées pour perdurer. Il serait navrant, décevant voire irrespectueux de laisser périr ces images de pierre.
Le travail de la métallurgie a également marqué nos cimetières fin XIXe et début XXe, sobres, sans prétention, aérées, ces réalisations dégagent cependant un charme notoire, certaines plus que d'autres ont souffert des affres du temps. Généralement en fonte, elles proviennent pour la plupart des usines et ateliers DELLOYE implantés dans le hameau Les Forges (Marchin), vallée du Hoyoux.
Quelques vues générales du cimetière rue Aux Oies
Le cimetière primitif d'Ouffet
Ouffet n'échappe pas aux usages anciens, le cimetière primitif se situait autour de l'église et devant le presbytère. Il cesse d'être utilisé dès 1873, date à laquelle le vieux cimetière de la rue Aux Oies permet d'accueillir les dépouilles.
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Le vieux cimetière rue Aux Oies à Ouffet
Entouré d'un mur en pierres de grès, à l'origine la seule entrée se situait au coin formé par la rue Aux Oies et le Chaussée de Warzée, une porte grillagée à double battants en permet l'accès.
Dès l'entrée une allée conduisant vers un petit bâtiment pompeusement appelé la morgue sépare le vieux cimetière en deux, il y a donc une partie à droite et l'autre à gauche.
Jean Jacques HOCHET, curé de la paroisse d'Ouffet, inaugure et bénit ce cimetière en 1873, il sera utilisé jusqu'en 1936.
En octobre 2020, il comporte 543 tombes, 233 pour le côté droit et 210 pour le côté gauche.
Toutes ont été photographiées et numérotées.
Le dossier numérique est disponible sur demande : polgilletpdm@gmail.com
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Le cimetière des Anges dans le vieux cimetière d'Ouffet
Vous serez émus devant ces prénoms, ces années de vie si courte, ces photos désuètes, ces doux mais si tristes témoignages d’une partie de l’histoire de notre village.
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Le nouveau cimetière d'Ouffet
Utilisé pour la première fois en 1936, on y accède par une nouvelle entrée qui donne directement sur la rue Aux Oies.
En face de la grille, une allée plein nord conduit à un petit bâtiment pompeusement baptisé la morgue et sépare donc le vieux cimetière à droite du nouveau à gauche à l'exception de quelques tombes de 1 à 21 à droite le long du mur de la rue Aux Oies.
En 2022, on y dénombre plus de 660 sépultures et emplacements numérotés.
Page en construction, actuellement inaccessible.
Le cimetière d'Ellemelle
Partiellement ombragé et accolé à l'église dont il fait le tour complet, il dégage une impression de sérénité. En savoir plus
Les symboles funéraires
Le symbolisme funéraire peut être révélateur de la personnalité du défunt ou des conditions de sa mort. La "lecture" du symbole peut déterminer la tranche d’âge lors du décès, le sexe, l’état civil, le métier, les options philosophiques et politiques... Toutefois, une mise en garde est nécessaire; le symbole se lit mais n’est point une grammaire aux règles intangibles; les exceptions sont légions comme les ouvrages qui en traitent.
Ci-dessous un lien vers un de ses sites qui, bien illustré, nous semble assez complet sans être complexe.
https://wassy-sur-blaise.pagesperso-orange.fr/cimetierewassy/artfuneraire/symboles.html
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