Commerces Grand-Place Ouffet : Différence entre versions

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Au N° 1 et 2 Café, restaurant, hôtel et salle de spectacles Joseph Henrard  époux de Virgine Chapelier. Ensuite, même activité : Godelet Ferdinand époux de Mariette Pirson. En 1960, toujours pour la même activité, Gaston Lucas, époux de Nelly Noville,  leur fils Roger et le cousin de Nelly Noville,  Gaston Borsu. Se suivront s’en s’attarder Alex Verdin et une personne d’origine roumaine. Stéphane Poncelet et Marie Legros acquièrent le bâtiment en 1999 et y font d’importantes transformations. Ce sera Le Carpe Diem. En plus des activités précitées, ils transforment une partie des bâtiments en appartements et gîtes. La salle de spectacle, déclarée hors normes en 1975 par les pompiers de Hamoir, sera désaffectée et inclue dans les transformations. Durant l’exploitation de l’immeuble par Henrard, Godelet et Lucas-Borsu, la salle de trois cents places accueillera chaque année de 1954 à 1974, de 1000 à 2000 spectateurs et parfois plus, venus assister aux  représentations de la Société Royale sainte-Cécile d’Ouffet (Voir https://www.youtube.com/watch?v=vikOpwuB1eQ). Les représentations, appelées revues, gardaient l’affiche de huit à douze fois l’an. La salle était pratiquement toujours comble. A ce jour, après plus de quarante ans, Ouffet ne dispose toujours pas de salle de fêtes ou spectacles.
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Au N° 1 et 2 Café, restaurant, hôtel et salle de spectacles Joseph Henrard  époux de Virgine Chapelier. Ensuite, même activité : Godelet Ferdinand époux de Mariette Pirson. En 1960, toujours pour la même activité, Gaston Lucas, époux de Nelly Noville,  leur fils Roger et le cousin de Nelly Noville,  Gaston Borsu. Se succéderont s’en s’attarder Alex Verdin et une personne d’origine roumaine. Stéphane Poncelet et Marie Legros acquièrent le bâtiment en 1999 et y font d’importantes transformations. Ce sera Le Carpe Diem. En plus des activités précitées, ils transforment une partie des bâtiments en appartements et gîtes. La salle de spectacle, déclarée hors normes en 1975 par les pompiers de Hamoir, sera désaffectée et inclue dans les transformations. Durant l’exploitation de l’immeuble par Henrard, Godelet et Lucas-Borsu, la salle de trois cents places accueillera chaque année de 1954 à 1974, de 1000 à 2000 spectateurs et parfois plus, venus assister aux  représentations de la Société Royale sainte-Cécile d’Ouffet (Voir https://www.youtube.com/watch?v=vikOpwuB1eQ). Les représentations, appelées revues, gardaient l’affiche de huit à douze fois l’an. La salle était pratiquement toujours comble. A ce jour, après plus de quarante ans, Ouffet ne dispose toujours pas de salle de fêtes ou spectacles.
  
 
Au N° 4 Droguerie Walhin Norbert époux de Rixhon Marie. Cette dernière gérait le commerce avec sa sœur Tavie. Le magasin sera fermé en 1975. Norbert s’occupait de l’entreprise de peinture et ce, jusqu’en 1963. Gilbert a repris l’activité à son compte jusqu’au 31.08.1967. Puis ce fut l’association de fait  Walhin frères, Gilbert et Freddy, jusqu’au 30.03.1977. Paul Walhin reprend alors l’entreprise avec le siège social et l’atelier à Liège.
 
Au N° 4 Droguerie Walhin Norbert époux de Rixhon Marie. Cette dernière gérait le commerce avec sa sœur Tavie. Le magasin sera fermé en 1975. Norbert s’occupait de l’entreprise de peinture et ce, jusqu’en 1963. Gilbert a repris l’activité à son compte jusqu’au 31.08.1967. Puis ce fut l’association de fait  Walhin frères, Gilbert et Freddy, jusqu’au 30.03.1977. Paul Walhin reprend alors l’entreprise avec le siège social et l’atelier à Liège.
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Au N° 5 En 1972, le coiffeur Michel Pirlot et son épouse Annie Walhin quittent le 27 de la Rue Sauvenière pour s’installer Grand-Place.
 
Au N° 5 En 1972, le coiffeur Michel Pirlot et son épouse Annie Walhin quittent le 27 de la Rue Sauvenière pour s’installer Grand-Place.
  
Au N°9  Etude du notaire André Renard  de 1960 à 1968, étude installée précédemment au N° 17 de la Rue de Temme de 1958 à 1960. En 1968, l’étude emménagera dans une nouvelle construction au N° 3 de la rue de Hamoir. Le notaire prendra sa retraite en 1998, l’étude sera reprise par Maître Bénédicte Lecomte d’Ouffet. Après s’installa le restaurant La Gibecière, André Prévot époux de Lucille Fallais. Ensuite bureau d’assurances Philippe Reginster puis, actuellement, la même activité avec Arnaud Massin. Il y a également le tailleur sourd et muet, Emile Dawance qui emménagera par la suite Rue du Perron N° 29.
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Au N°9  Etude du notaire André Renard  de 1960 à 1968, étude installée précédemment au N° 17 de la Rue de Temme de 1958 à 1960. En 1968, les bureaux déménageront dans une nouvelle construction au N° 3 de la rue de Hamoir. Le notaire prendra sa retraite en 1998, l’étude sera reprise par Maître Bénédicte Lecomte d’Ouffet. Après s’installa le restaurant La Gibecière, André Prévot époux de Lucille Fallais. Ensuite bureau d’assurances Philippe Reginster puis, actuellement, la même activité avec Arnaud Massin. Avant 1960, il y a également eu le tailleur d'habits sourd et muet, Emile Dawance, qui emménagera par la suite Rue du Perron N° 29.
  
Au N° 10 Boulangerie Henri Gruslin époux d’Alice Devillers, ils s’expatrieront au Canada. Venant de Seraing en 1950, Lucien Van’Acht et Julia Lievens reprennent l’activité.
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Au N° 10 La boulangerie Henri Gruslin époux d’Alice Devillers, ils s’expatrieront au Canada. Venant de Seraing en 1950, Lucien Van’Acht et Julia Lievens reprennent l’activité.
  
Au N° 11 Hubert Gruslin époux de Joséphine Henry, instituteur à Sprimont. Il mettra sur pied un bureau d’assurances et sera élu bourgmestre d’Ouffet de ??? à ???
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Au N° 11 Hubert Gruslin époux de Joséphine Henry était instituteur à Sprimont. Il mettra sur pied un bureau d’assurances et sera élu bourgmestre d’Ouffet de ??? à ???
  
 
Au N° 12 Charles Duchêne époux de Marie Marchal exerça le métier de maréchal ferrant. Son père Emile Duchêne était garde forestier à Jenneret. L’atelier fermé, c’est René Médart, un courtier en grains pour une firme de Merksem qui prend possession des lieux en ???
 
Au N° 12 Charles Duchêne époux de Marie Marchal exerça le métier de maréchal ferrant. Son père Emile Duchêne était garde forestier à Jenneret. L’atelier fermé, c’est René Médart, un courtier en grains pour une firme de Merksem qui prend possession des lieux en ???
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AU N° 13 Fernand Vilenne exerça le métier de cordonnier. Son épouse, Rixhon Julienne, s’occupa du commerce de chaussures. Depuis, il n’y a plus eu de commerce à cette adresse.
 
AU N° 13 Fernand Vilenne exerça le métier de cordonnier. Son épouse, Rixhon Julienne, s’occupa du commerce de chaussures. Depuis, il n’y a plus eu de commerce à cette adresse.
  
Au N° 14 Salon de coiffure de Claire Mouchette jusqu’en 2007. ll n’y a plus eu de commerce à cette adresse.
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Au N° 14 Salon de coiffure de Claire Mouchette jusqu’en 2007. Auparavant, Claire était installée au 10 de la Rue du Perron. ll n’y a plus eu de commerce au n° 14 de la Grand-Place.
  
Au N° 16 Entreprise de peintures Pol Cornet époux d’Anne-Marie Bonhivers de 1967 à 2007.
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Au N° 16 De 1967 à 2007, le peintre Pol Cornet époux d’Anne-Marie Bonhivers.
  
Au N° 17 Epicerie Alfred Grutman époux d’Angèle Gengoux emménagera Rue Sauvenière 43 en ??? C’est ensuite Maurice Badoux époux d’Astrid Hazard qui installera un bureau d’assurances.
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Au N° 17 Les époux Alfred Grutman et Angèle Gengoux exploiteront une épicerie pour la déménager par la suite Rue Sauvenière 43 en ??? C’est alors Maurice Badoux époux d’Astrid Hazard qui reprendra la maison pour y installer un bureau d’assurances.
Marché Public sur la Grand-Place tous les jeudis et avec beaucoup de succès, il a perduré jusqu’en 1945. Nouveau départ en 1970, tous les vendredis, il ne durera pas plus de deux ans.
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Foire aux chevaux sur la Grand-Place (Herd Book) deux fois par an et marché aux bestiaux jusqu’en 1947 ou 1948, à partir de ce moment elle sera transférée au carrefour à Tinlot.  
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'''Retour à la Liste_____Retour à Ouffet, le Village,_____Retour à Ouffet, L'Entité'''
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Un marché public se tenait sur la Grand-Place tous les jeudis. Il a eu beaucoup de succès et a perduré jusqu’en 1945. Il a connu un nouveau  départ en 1970, tous les vendredis. Il ne subsistera hélas pas plus de deux ans.
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Des foires aux chevaux (Herd Book) et bestiaux avaient régulièrement lieu sur la Grand-Place jusqu’en 1947 ou 1948, elles se sont ensuite tenues au carrefour de Tinlot.
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Version du 22 novembre 2016 à 18:18

Page en cours de construction, non publiée

Ouffet Grand-Place Walonmap

Au N° 1 et 2 Café, restaurant, hôtel et salle de spectacles Joseph Henrard époux de Virgine Chapelier. Ensuite, même activité : Godelet Ferdinand époux de Mariette Pirson. En 1960, toujours pour la même activité, Gaston Lucas, époux de Nelly Noville, leur fils Roger et le cousin de Nelly Noville, Gaston Borsu. Se succéderont s’en s’attarder Alex Verdin et une personne d’origine roumaine. Stéphane Poncelet et Marie Legros acquièrent le bâtiment en 1999 et y font d’importantes transformations. Ce sera Le Carpe Diem. En plus des activités précitées, ils transforment une partie des bâtiments en appartements et gîtes. La salle de spectacle, déclarée hors normes en 1975 par les pompiers de Hamoir, sera désaffectée et inclue dans les transformations. Durant l’exploitation de l’immeuble par Henrard, Godelet et Lucas-Borsu, la salle de trois cents places accueillera chaque année de 1954 à 1974, de 1000 à 2000 spectateurs et parfois plus, venus assister aux représentations de la Société Royale sainte-Cécile d’Ouffet (Voir https://www.youtube.com/watch?v=vikOpwuB1eQ). Les représentations, appelées revues, gardaient l’affiche de huit à douze fois l’an. La salle était pratiquement toujours comble. A ce jour, après plus de quarante ans, Ouffet ne dispose toujours pas de salle de fêtes ou spectacles.

Au N° 4 Droguerie Walhin Norbert époux de Rixhon Marie. Cette dernière gérait le commerce avec sa sœur Tavie. Le magasin sera fermé en 1975. Norbert s’occupait de l’entreprise de peinture et ce, jusqu’en 1963. Gilbert a repris l’activité à son compte jusqu’au 31.08.1967. Puis ce fut l’association de fait Walhin frères, Gilbert et Freddy, jusqu’au 30.03.1977. Paul Walhin reprend alors l’entreprise avec le siège social et l’atelier à Liège.

Au N° 5 En 1972, le coiffeur Michel Pirlot et son épouse Annie Walhin quittent le 27 de la Rue Sauvenière pour s’installer Grand-Place.

Au N°9 Etude du notaire André Renard de 1960 à 1968, étude installée précédemment au N° 17 de la Rue de Temme de 1958 à 1960. En 1968, les bureaux déménageront dans une nouvelle construction au N° 3 de la rue de Hamoir. Le notaire prendra sa retraite en 1998, l’étude sera reprise par Maître Bénédicte Lecomte d’Ouffet. Après s’installa le restaurant La Gibecière, André Prévot époux de Lucille Fallais. Ensuite bureau d’assurances Philippe Reginster puis, actuellement, la même activité avec Arnaud Massin. Avant 1960, il y a également eu le tailleur d'habits sourd et muet, Emile Dawance, qui emménagera par la suite Rue du Perron N° 29.

Au N° 10 La boulangerie Henri Gruslin époux d’Alice Devillers, ils s’expatrieront au Canada. Venant de Seraing en 1950, Lucien Van’Acht et Julia Lievens reprennent l’activité.

Au N° 11 Hubert Gruslin époux de Joséphine Henry était instituteur à Sprimont. Il mettra sur pied un bureau d’assurances et sera élu bourgmestre d’Ouffet de ??? à ???

Au N° 12 Charles Duchêne époux de Marie Marchal exerça le métier de maréchal ferrant. Son père Emile Duchêne était garde forestier à Jenneret. L’atelier fermé, c’est René Médart, un courtier en grains pour une firme de Merksem qui prend possession des lieux en ???

AU N° 13 Fernand Vilenne exerça le métier de cordonnier. Son épouse, Rixhon Julienne, s’occupa du commerce de chaussures. Depuis, il n’y a plus eu de commerce à cette adresse.

Au N° 14 Salon de coiffure de Claire Mouchette jusqu’en 2007. Auparavant, Claire était installée au 10 de la Rue du Perron. ll n’y a plus eu de commerce au n° 14 de la Grand-Place.

Au N° 16 De 1967 à 2007, le peintre Pol Cornet époux d’Anne-Marie Bonhivers.

Au N° 17 Les époux Alfred Grutman et Angèle Gengoux exploiteront une épicerie pour la déménager par la suite Rue Sauvenière 43 en ??? C’est alors Maurice Badoux époux d’Astrid Hazard qui reprendra la maison pour y installer un bureau d’assurances.

Un marché public se tenait sur la Grand-Place tous les jeudis. Il a eu beaucoup de succès et a perduré jusqu’en 1945. Il a connu un nouveau départ en 1970, tous les vendredis. Il ne subsistera hélas pas plus de deux ans.

Des foires aux chevaux (Herd Book) et bestiaux avaient régulièrement lieu sur la Grand-Place jusqu’en 1947 ou 1948, elles se sont ensuite tenues au carrefour de Tinlot.

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