Maison du Peuple Ouffet : Différence entre versions

De Wikihuy
Aller à : navigation, rechercher
Ligne 68 : Ligne 68 :
  
  
'''Retour à _____ [[Ouffet, rue du Village|La rue du Village]] _____ ou aux _____ [[Ouffet, commerces Rue du Village|Commerces rue du Village à Ouffet]] _____ [[Passeurs de mémoire d'Ouffet : Patrimoine et Histoire|Passeurs de Mémoire]] _____ '''
+
'''Retour à _____ [[Ouffet, rue du Village|La rue du Village]] _____ ou à _____ [[Ouffet, histoire des rues et lieux-dits|Histoire des rues et lieux-dits]] _____ ou aux _____ [[Ouffet, commerces Rue du Village|Commerces rue du Village à Ouffet]] _____ [[Passeurs de mémoire d'Ouffet : Patrimoine et Histoire|Passeurs de Mémoire]] _____ '''

Version du 20 octobre 2019 à 18:39

Maison du Peuple

Histoire


Théâtre, Harmonie

A l'affiche le 21 avril 1957









Société coopérative

L'Union Coopérative. Par déduction, cette photo date d'avant 1913, date à laquelle on a commencé les raccordements électriques. Les poteaux sont des poteaux de téléphone.
L'atelier de boulangerie sur les Pahys

Au N° 33/1 à 6 de la rue Sauvenière la boulangerie Coopérative et épicerie se situaient dans la partie gauche du bâtiment, la partie droite était réservée à la boucherie. Quant à l’atelier boulangerie, il se situait en face de l'autre côté de la rue avec l’accès principal Rue des Pahys.

En 1946, le magasin Coop était tenu par la famille RASQUIN-SYLVESTRE, Louis et Sophie. A cette époque, existait toujours les timbres de ravitaillement, source d’un travail fastidieux dû au tri et au collage de ceux-ci.

Après un an, la gestion a été transférée à Arthur CORNELIE et Maria MINET qui, en 1952, ont accueilli Anne-Laure LÖSER future épouse de Carl LECOCQ. Arthur CORNELIE s’occupait principalement de la livraison de différentes sortes de charbon. Il transportait celui-ci avec un chariot tiré par un cheval.

Les stocks de charbon étaient entreposés en face du magasin dans un abri pour le coke et derrière les étables pour les autres types.

Le personnel occupé par Arthur CORNELIE se composait de ; Georgette LEJEUNE, Mariette HECK et Marie-Louise GRAINDORGE. Cette dernière, épouse de Richard FAILON, a ensuite assuré la gestion de l’établissement jusqu’à la fermeture définitive dans les années 1950.

Pendant la guerre de 1940-45, la boulangerie était dirigée par César GENOT, bourgmestre d’Ouffet et père de Joseph GENOT qui sera conseiller communal. Ils ont tous deux, successivement, habités au 44 de la rue Sauvenière.

L’atelier était équipé de deux grands fours chauffés aux briquettes. La fabrication du pain et de la pâtisserie était réalisée par Modeste Hansotte, Maurice Vroonen, Lucien Delvaux et Fernand Pirotte que l’on retrouvera plus loin au 8 de la rue Halbadet.

Tout ce petit monde se donnait à fond pour réaliser des produits de qualité.

Dans un second temps, la direction sera assurée par Marcel Masset époux d’Emerance Peetersil. La boulangerie cessera ses activités dans les années 1950.

Ensuite, viendra s’installer l'atelier de boulangerie DIZIER dont le magasin se situait à Barvaux, puis, jusqu'en 2004, la boulangerie pâtisserie Bernard VALANGE époux de Carine VANSPOUWEN. C’est à cette époque que l’atelier et le magasin déménageront au 30 de la Rue Sauvenière où le couple habitera également. Cet immeuble de la rue du Village sera transformé en appartements.

Le bâtiment, laissé à l’abandon pendant plus de 10 ans, a été squatté par des ferrailleurs.

Ensuite, la firme française, Engema, spécialisée dans la pose des lignes aériennes à haute tension a occupé les lieux.

Actuellement, Robert MARCHAL, ébéniste et son épouse Anne VERJANS occupent l’immeuble et y font une salle d’exposition. Ils y installent également un atelier qu’ils transféreront par la suite Chaussée de Huy dans une nouvelle construction.



Retour à _____ La rue du Village _____ ou à _____ Histoire des rues et lieux-dits _____ ou aux _____ Commerces rue du Village à Ouffet _____ Passeurs de Mémoire _____