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===Le ruisseau de Lizen===
 
===Le ruisseau de Lizen===
  
Le ruisseau de Lizin émerge au pied des monticules de pierres et de terre laissés par l'exploitation des carrières. Sa (ses) source(s) se situe(nt) vraisemblablement plus haut dans la colline et c'est à n'en pas douter le même réseau qui alimente les fermes de ce lieu-dit grâce à la technique du '''[https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9lier_hydraulique bélier].''' Système, je pense en 2020, remplacé par une pompe électrique (à vérifier).
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Le ruisseau de Lizin a sa '''[https://www.cnrtl.fr/definition/resurgence résurgence]''' au pied des monticules de pierres et de terre laissés par l'exploitation des carrières. Sa (ses) source(s) se situe(nt) vraisemblablement plus haut dans la colline et c'est à n'en pas douter le même réseau qui alimente les fermes de ce lieu-dit grâce à la technique du '''[https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9lier_hydraulique bélier].''' Système, je pense en 2020, remplacé par une pompe électrique (à vérifier).
  
 
Ce ruisseau a un débit intéressant que nous nous proposons de mesurer bientôt. Fin août 2020, malgré trois années de sécheresse, il est toujours aussi généreux, générosité malheureusement mal récompensée.
 
Ce ruisseau a un débit intéressant que nous nous proposons de mesurer bientôt. Fin août 2020, malgré trois années de sécheresse, il est toujours aussi généreux, générosité malheureusement mal récompensée.
  
Quelques centaines de mètres après son passage au pied de l’èstihale, le ruisseau de Lizin, d'humeur fugueuse, disparaît dans une série de '''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Chantoire chantoirs ou chantoires]''' pour un mystérieux parcours souterrain de plusieurs kilomètres avant de, en passant par ses grottes, resurgir à '''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Comblain-au-Pont Comblain au Pont]''' et non pas dans la vallée entre La Rock et Comblain Fairon comme l'affirment certains ouvrages n'ayant pas tenu compte d'expériences scientifiques.  
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Quelques centaines de mètres après son passage au pied de l’èstihale, le ruisseau de Lizin, d'humeur fugueuse, disparaît dans une série de '''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Chantoire chantoirs ou chantoires]''' pour un mystérieux parcours souterrain de huit kilomètres à une vitesse de 123 mètres/heure avant de, en passant par ses grottes, réapparaître à '''[http://www.cirkwi.com/fr/point-interet/75365-moulin la Résurgence rue du Moulin]''' à '''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Comblain-au-Pont Comblain au Pont]''' et non pas dans la vallée entre La Rock et Comblain Fairon comme l'affirment certains ouvrages n'ayant pas tenu compte d''''expériences scientifiques'''.
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Ce parcours a été démontré en 1895 par l'ingénieur liégeois E. Beaulieu qui colora les eaux du ruisseau à la '''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Fluoresc%C3%A9ine fluorescéine]''' et plus récemment, en 1993, par les travaux de '''Philippe Meus''' [archive].  
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Version du 31 août 2020 à 11:22

A 100 mètres de sa sortie des remblais
Une partie des nombreux chantoirs

Le ruisseau de Lizen

Le ruisseau de Lizin a sa résurgence au pied des monticules de pierres et de terre laissés par l'exploitation des carrières. Sa (ses) source(s) se situe(nt) vraisemblablement plus haut dans la colline et c'est à n'en pas douter le même réseau qui alimente les fermes de ce lieu-dit grâce à la technique du bélier. Système, je pense en 2020, remplacé par une pompe électrique (à vérifier).

Ce ruisseau a un débit intéressant que nous nous proposons de mesurer bientôt. Fin août 2020, malgré trois années de sécheresse, il est toujours aussi généreux, générosité malheureusement mal récompensée.

Quelques centaines de mètres après son passage au pied de l’èstihale, le ruisseau de Lizin, d'humeur fugueuse, disparaît dans une série de chantoirs ou chantoires pour un mystérieux parcours souterrain de huit kilomètres à une vitesse de 123 mètres/heure avant de, en passant par ses grottes, réapparaître à la Résurgence rue du Moulin à Comblain au Pont et non pas dans la vallée entre La Rock et Comblain Fairon comme l'affirment certains ouvrages n'ayant pas tenu compte d'expériences scientifiques.

Ce parcours a été démontré en 1895 par l'ingénieur liégeois E. Beaulieu qui colora les eaux du ruisseau à la fluorescéine et plus récemment, en 1993, par les travaux de Philippe Meus [archive].