Commerces Rue Sauvenière Ouffet : Différence entre versions

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Jean décède le 4 mai 1934 et Marie le 24 novembre 1941, tous deux à Ouffet.
 
Jean décède le 4 mai 1934 et Marie le 24 novembre 1941, tous deux à Ouffet.
  
Un de leur fils, Jean Guffens époux de Germaine Grégoire. [http://www.hansbraakhuis.nl/Renkum/Jagershuis/Driessen-cacao-chocola-Rotterdam.html '''Cacao Driessen''']. La maman de Jean Guffens, Marie Antoine, était modiste et avait sa vitrine du côté gauche de la maison. Au décès de Jean Guffens, ce sera un des fils, Alfred dit Freddy qui reprendra le commerce de ses parents.
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Un de leur fils, Jean GUFFENS époux de Germaine Grégoire. [http://www.hansbraakhuis.nl/Renkum/Jagershuis/Driessen-cacao-chocola-Rotterdam.html '''Cacao Driessen''']. La maman de Jean GUFFENS, Marie ANTOINE, était modiste et avait sa vitrine du côté gauche de la maison. Au décès de Jean GUFFENS, ce sera un des fils, Alfred dit Freddy qui reprendra le commerce de ses parents.
  
Après la boulangerie, ce sera une agence de la CGER et actuellement, 2020, le bureau de poste.
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Après la boulangerie, ce sera une agence de la CGER et depuis 2020, le bureau de poste.
  
Sur la photo : au centre Lambert Guffens, de chaque côté des ouvriers de la boulangerie et les deux garçons : Jean le fils boulanger ci-dessus et Georges agent d'affaires, voir commerces rue du Village à Ouffet.
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Sur la photo : au centre Lambert GUFFENS, de chaque côté des ouvriers de la boulangerie et les deux garçons : Jean le fils boulanger ci-dessus et Georges agent d'affaires, voir commerces rue du Village à Ouffet.
  
  
Au N° 5 Construction de 1898 ou 1899. Les époux Meura-Lambert puis leur fille :Louise Meura, célibataire, ont exploité un petit bazar. A sa retraite, Melle Meura louera le bâtiment à la chaîne de magasins épicerie et boucherie « La Vierge Noire » de Ciney qui changera d’enseigne et deviendra « Epécé ». Par la suite, l’épicerie emménagera à côté au N° 7 dans un nouveau bâtiment.  
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Au N° 5 Construction de 1898 ou 1899. Les époux MEURA-LAMBERT puis leur fille :Louise MEURA, célibataire, ont exploité un petit bazar. A sa retraite, Melle MEURA louera le bâtiment à la chaîne de magasins épicerie et boucherie « La Vierge Noire » de Ciney qui changera d’enseigne, deviendra « Epécé » et s'installera à côté au N° 7 dans un nouveau bâtiment.  
Pol Gillet acquiert le bâtiment en 1970 pour en faire un commerce radio TV électro – ménagers et installations électriques. Le magasin fermera en 2005 mais il continuera ses activités jusqu’au 31.12.2013.  
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Pol GILLET acquiert le N°5 en 1970 pour faire un commerce radio TV électro – ménagers et installations électriques. Le magasin fermera en 2005 mais les activités continueront jusqu'à la pension le 31.12.2013.  
  
 
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Au N° 7 Epicerie et boucherie « La Vierge Noire » puis « Epécé » puis plusieurs indépendants pour les mêmes commerces. Puis deux commerces de meubles se succèderont : « Wally Meubles » installé auparavant Rue Aux Oies 4 puis Christian Seret époux d’Andrée Leclère qui exploite le commerce jusqu'au 30 avril 2018. Un salon de coiffure ,s'installe en 2020.
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Au N° 7 Epicerie et boucherie « La Vierge Noire » puis « Epécé » puis plusieurs indépendants pour les mêmes commerces. Puis deux commerces de meubles se succèderont : « Wally Meubles » installé auparavant Rue Aux Oies 4 puis Christian SERET époux d’Andrée LECLERE qui exploite le commerce jusqu'au 30 avril 2018. Un salon de coiffure, s'installe en 2020.
  
  
Au N° 13 Une horlogerie bijouterie exploitée au départ par Maurice et Marcel Magis époux de Jeanne Legros. Ce dernier a ensuite continué seul le commerce, Maurice étant retourné dans le pays de Visé. Le beau-fils de Marcel, Denis Ghiot avec son épouse Ida Magis a repris les affaires  avant de les céder à son fils Yves Ghiot époux de Jacqueline Delbeuck.  
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Au N° 13 Une horlogerie bijouterie exploitée au départ par Maurice et Marcel MAGIS époux de Jeanne LEGROS. Ce dernier a ensuite continué seul le commerce, Maurice étant retourné dans le pays de Visé. Le beau-fils de Marcel, Denis GHIOT avec son épouse Ida MAGIS a repris les affaires  avant de les céder à son fils Yves GHIOT époux de Jacqueline DELBEUCK.  
 
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Reigil 47.71.jpg|Magis Frères, maison bâtie vers 1914
 
Reigil 47.71.jpg|Magis Frères, maison bâtie vers 1914
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Au N° 19 Andrée Defrène, épouse d’Albert Clément. Son père, Eugène Defrène, aurait été le premier ou un des premiers gérants de l’agence de banque Société Générale de Belgique.<br>Celle-ci se muera en Fortis et ensuite en Paribas-Fortis avant de fermer ses portes en mars 2021. Le bâtiment est mis en vente en mai 2021.
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Au N° 19 Andrée DEFRENE, épouse d’Albert CLEMENT. Son père, Eugène DEFRENE, aurait été le premier ou un des premiers gérants de l’agence de banque Société Générale de Belgique.<br>Celle-ci se muera en Fortis et ensuite en Paribas-Fortis avant de fermer ses portes en mars 2021. Le bâtiment est mis en vente en mai 2021 et vendu en octobre de la même année sans en connaître la nouvelle destination.
  
  
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Au N° 23 Un commerce de vêtements, atelier de couture, mercerie. Le commerce est tenu par deux des  quatre sœurs Magis, Irma et Laure épouse du maçon Raymond Lacroix. Le garde-champêtre Léon Damoiseaux, célibataire habitait également la maison. Raoul Desmedt et son épouse y ont exploité un magasin Vetex repris de 1978 à 1979 par Annie Bonhivers épouse de Pol Cornet. Ensuite, Claudy Ledoux et son épouse Greta Desmedt ouvriront un restaurant puis ce sera la friterie « Le Colombage » exploitée par Willy Taens. Gréta  était auparavant installée comme fleuriste au N° 10 de la Chaussée de Huy. Le bâtiment sera transformé en  appartements.  
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Au N° 23 Un commerce de vêtements, atelier de couture, mercerie. Le commerce est tenu par deux des  quatre sœurs MAGIS, Irma et Laure épouse du maçon Raymond LACROIX. Le garde-champêtre Léon DAMOISEAUX, célibataire habitait également la maison. Raoul DESMEDT et son épouse y ont exploité un magasin Vetex repris de 1978 à 1979 par Annie BONHIVERS épouse de Pol Cornet. Ensuite, Claudy LEDOUIX et son épouse Greta DESMEDT ouvriront un restaurant puis ce sera la friterie « Le Colombage » exploitée par Willy TAENS. Gréta  était auparavant installée comme fleuriste au N° 10 de la Chaussée de Huy. Le bâtiment sera transformé en  appartements.  
  
  
Au N° 25 Oscar Ligot était menuisier, son atelier se situait Aux Avins. Son épouse, Jeanne Warnier avait un commerce de fleurs (chrysanthèmes à la Toussaint). Marie-Louise Thirifays épouse de Pierre Marsin, a tenu un commerce de chaussures et vêtements pour enfants. Il y aura aussi le salon de coiffure « Art et Passion » qui fermera fin septembre 2016. A cette adresse, voir aussi la page  « Ouffet, professions libérales », en préparation.
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Au N° 25 Oscar LIGOT était menuisier, son atelier se situait Aux Avins. Son épouse, Jeanne WARNIER avait un commerce de fleurs (chrysanthèmes à la Toussaint). Marie-Louise THIRIFAYS épouse de Pierre MARSIN, a tenu un commerce de chaussures et vêtements pour enfants. Il y aura aussi le salon de coiffure « Art et Passion » qui fermera fin septembre 2016. A cette adresse, voir aussi la page  en préparation « Ouffet, professions libérales ».
  
  
Entre le 25 et le 27 Désiré Sprumont, époux de Léonie Brahy, maître de carrières et marbrier y avait ses ateliers. Trois tailleurs de pierres avaient chacun leur abri individuel que l’on peut encore voir aujourd’hui.
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Entre le 25 et le 27 Désiré SPRUMONT, époux de Léonie BRAHY, maître de carrières et marbrier y avait ses ateliers. Trois tailleurs de pierres avaient chacun leur abri individuel que l’on peut encore voir aujourd’hui.
  
  
Au N° 27 La pharmacie François Mouchette époux de Louise Maes. Au décès de François, Louise n’étant pas pharmacienne, l’officine a été gérée par le pharmacien Xhenceval de Plainevaux y compris lors de son déménagement Rue du Perron N° 8. En 1969, Michel Pirlot époux d’Annie Walhin s’installe comme coiffeur avant d’emménager en 1972 au 5 de la Grand-Place.  
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Au N° 27 La pharmacie François MOUCHETTE époux de Louise MAES. Au décès de François, Louise n’étant pas pharmacienne, l’officine a été gérée par le pharmacien XHENCEVAL de Plainevaux y compris lors de son déménagement Rue du Perron N° 8. En 1969, Michel PIRLOT époux d’Annie Walhin s’installe comme coiffeur avant d’emménager en 1972 au 5 de la Grand-Place.  
  
  
Au N° 29 L’habitation de Désiré Sprumont né en 1871 et époux de Léonie Brahy, Désiré était maître de carrières et gérait une marbrerie. Lui-même n’était pas tailleur de pierres mais il employait trois ouvriers dont c’était la spécialité. Son épouse Léonie exploitait un café dans la partie droite de la maison, à gauche, c’était quincaillerie, épicerie, aunage (Ce magasin était en fait un des nombreux magasins d’entreprise de la région, ce type de magasin a été à la base de nombreuses grèves). Le garage actuel abritait un jeu de quilles. Ensuite, Maurice Lambin, époux de Joséphine Lehnen, taxi, messagerie occupera les lieux.
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Au N° 29 L’habitation de Désiré SPRUMONT né en 1871 et époux de Léonie BRAHY, Désiré était maître de carrières et gérait une marbrerie. Lui-même n’était pas tailleur de pierres mais il employait trois ouvriers dont c’était la spécialité. Son épouse Léonie exploitait un café dans la partie droite de la maison, à gauche, c’était quincaillerie, épicerie, aunage (Ce magasin était en fait un des nombreux magasins d’entreprise de la région, ce type de magasin a été à la base de nombreuses grèves). Le garage actuel abritait un jeu de quilles. Ensuite, Maurice LAMBIN, époux de Joséphine LHENEN, taxi, messagerie occupera les lieux. Ceux-ci sont maintenant occupés par leur fils Raymond époux de Migeot PIRLOT.
  
  
Au N° 31  Le café Eva Magis, son mari Joseph Belot (tombe D318) était coiffeur et est décédé pendant l’évacuation. Ce sera ensuite la coiffeuse Clairette Riga épouse d’Alexis Bihay,  puis Alain Van’Acht vendra des instruments de musique. Ensuite, le cordonnier  Arile Brévers domicilié à Vien Anthisnes, époux de Mireille Polet installera une première fois sa cordonnerie avant de la déménager au N° 43 un peu plus haut dans la rue. A cette adresse, voir aussi la page  « Ouffet, professions libérales », en préparation.
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Au N° 31  Le café Eva Magis, son mari Joseph BELOT(tombe D318) était coiffeur et est décédé pendant l’évacuation. Ce sera ensuite la coiffeuse Clairette RIGA épouse d’Alexis BIHAY,  puis Alain VAN’ACHT vendra des instruments de musique. Ensuite, le cordonnier  Arile BREVERS domicilié à Vien Anthisnes, époux de Mireille POLET installera une première fois sa cordonnerie avant de la déménager au N° 43 un peu plus haut dans la rue. A cette adresse, voir aussi la page  en préparation « Ouffet, professions libérales ».
  
  
Au N° 33 Alfred Maréchal époux d’Irène Médard exploitait avec ses frères une carrière rue de Temme, voir Ouffet, carrières 45 et et 45/2.
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Au N° 33 Alfred MARECHAL époux d’Irène MEDARD exploitait avec ses frères une carrière rue de Temme, voir Ouffet, carrières 45 et et 45/2.
  
 
[[Fichier:Capture 227.JPG|vignette|gauche|Rue Sauvenière plan 1 de 2]]
 
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[[Fichier:PM0218.71.jpg|vignette|droite|Au pied de la rue Sauvenière, l'actuel n°2]]
 
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Au N° 2  Une Ecole des filles à partir du 10/1862 jusqu’au 10/1900. Puis le café restaurant Victor Rasquin époux de Marie Dengis. Ensuite une boucherie exploitée par un de ses fils, Ernest Rasquin époux de Marguerite Beaufrère. Au décès de cette dernière, il épouse en secondes noces Paula Paye elle-même veuve de Frans Maréchal qui était installé comme boucher Rue Haïre 1. Ce sera ensuite la boucherie Justin Englebert « Le Petit Boucher » puis la boucherie « Au Bon Bœuf », Guy Dubois époux de Marie-Jeanne Braquet. Au décès de Guy, le boucher Thierry Mirguet reprendra le commerce pour le céder quelques années plus tard au poissonnier traiteur Pascal Servais époux de Dominique Bonjean. Actuellement, la boucherie et traiteur Dominique Herman époux de Valérie Noël.
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Au N° 2  Une école des filles à partir du 10/1862 jusqu’au 10/1900. Puis le café restaurant Victor RASQUIN époux de Marie DENGIS. Ensuite une boucherie exploitée par un de ses , Ernest RASQUIN époux de Marguerite BEAUFRERE. Au décès de cette dernière, il épouse en secondes noces Paula PAYE elle-même veuve de Frans MARECHAL, boucher, qui était installé Rue Haïre 1. Ce sera ensuite la boucherie Justin ENGLEBERT « Le Petit Boucher » puis la boucherie « Au Bon Bœuf », Guy DUBOIS époux de Marie-Jeanne BRAQUET. Au décès de Guy, le boucher Thierry MIRGUET reprendra le commerce pour le céder quelques années plus tard au poissonnier traiteur Pascal SERVAIS époux de Dominique BONJEAN. Actuellement, la boucherie et traiteur Dominique HERMAN époux de Valérie NOEL.
  
  
Au N° 4 Nadine Lafontaine épouse de Marcel Duchateau a tenu une quincaillerie, « La Cadeauterie ». A la cessation du commerce, ils ont mis en location à une librairie papeterie « La Maison du Papier » qui a également fermé.   
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Au N° 4 Nadine LAFONTAINE épouse de Marcel DUCHATEAU font construire fin des années 1970 une maison de commerce avec un appartement, la quincaillerie, « La Cadeauterie ». A la cessation du commerce, s'installe une librairie papeterie « La Maison du Papier » qui a également fermé. La surface commerciale restera inoccupée pendant plusieurs années. Le bâtiment est vendu en juin 2021 à un traiteur, en octobre 2021 les travaux sont en cours.   
  
  
Au N° 8 Irène Clément épouse d'Eli Genot exploite une mercerie. Puis Marie-Louise Thirifays, future épouse de Pierre Marsin, tient un commerce de vêtements pour enfants, «  Au Nid d’Ange ». Ensuite, viendra la fleuriste  Mireille Degrave installée auparavant Chaussée de Huy, 10.
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Au N° 8 Irène CLEMENT épouse d'Eli GENOT exploite une mercerie. Puis Marie-Louise THIRIFAYS, future épouse de Pierre MARSIN, tient un commerce de vêtements pour enfants, «  Au Nid d’Ange ». Ensuite, viendra la fleuriste  Mireille DEGRAVE installée auparavant Chaussée de Huy, 10.
  
  
Au N° 10 L’habitation d’Adolphe Clément, maître de carrières et entrepreneur routier.
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Au N° 10 L’habitation d’Adolphe CLEMENT, maître de carrières et entrepreneur routier.
  
 
[[Fichier:PM0229.71.jpg|vignette|gauche|L'emplacement des n°12 et 14 avant le bâtiment actuel]]
 
[[Fichier:PM0229.71.jpg|vignette|gauche|L'emplacement des n°12 et 14 avant le bâtiment actuel]]
Aux N° 12 et 14 Dès 1938, produits pétroliers Purfina et un garage atelier mécanique exploités par Eli Genot époux d’Irène Clément. Par la suite, un commerce de meubles et articles cadeaux tenu par Carmen Genot. Son époux André Guffens exerce le métier d’ébéniste dans un atelier à l’arrière du bâtiment avant de gérer la banque Record. Un de leur fils Emmanuel y exercera le même métier de 1986 à 1992 avant de s’installer à Seny.
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Aux N° 12 et 14 Dès 1938, produits pétroliers Purfina et un garage atelier mécanique exploités par Eli GENOT époux d’Irène CLEMENT. Par la suite, un commerce de meubles et articles cadeaux tenu par Carmen GENOT. Son époux André GUFFENS exerce le métier d’ébéniste dans un atelier à l’arrière du bâtiment avant de gérer la banque Record. Un de leur fils Emmanuel y exercera le même métier de 1986 à 1992 avant de s’installer à Seny.
  
  
N° 16 François Albert vendait et réparait les vélos,  puis il y a eu un commerce de chaussures et ensuite le coiffeur Jules Watelet époux d’Yvonne Joustenne et le bar « La Pergola ». Jules Watelet était précédemment installé Dans Les Cours 4. Il y a eu par après la coiffeuse Brigitte Remy qui a exercé jusqu’à son mariage avec le vétérinaire Bruno Renette. Ils ont emménagé par la suite Rue Brihi Tiyou, 16 et c’est une coiffeuse de Villers aux Tours, Pascale Macaux, qui reprendra le salon.
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N° 16 François ALBERT vendait et réparait les vélos,  puis il y a eu un commerce de chaussures et ensuite le coiffeur Jules WATELET époux d’Yvonne JOUSTENNE et le bar « La Pergola ». Jules WATELET était précédemment installé Dans Les Cours 4. Il y a eu par après la coiffeuse Brigitte REMY qui a exercé jusqu’à son mariage avec le vétérinaire Bruno RENETTE. Ils ont emménagé par la suite Rue Brihi Tiyou, 16 et c’est une coiffeuse de Villers aux Tours, Pascale MACAUX, qui reprendra le salon.
  
  
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Au N° 18 Hubert Wilmotte, marchand de grains et d’engrais (Tertre Auby), agent pour les machines à traire Mélotte. Publicité à la radio : j’ai de belles vaches dans mon étable et pour les traire chaque jour, j’ai la machine indispensable, une Mélotte pour toujours.
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Au N° 18 Hubert WILMOTTE, marchand de grains et d’engrais (Tertre Auby), agent pour les machines à traire Mélotte. Publicité à la radio : j’ai de belles vaches dans mon étable et pour les traire chaque jour, j’ai la machine indispensable, une Mélotte pour toujours.
  
  
Au N° 20 Un commerce de chaussures, Mady Cornet, épouse de Victor Prévot. Ensuite, ce sera Dominique Ciccellero, épouse de Philippe Prévot qui exploitera un magasin de vêtements pour enfants, « Au Clair de Lune ». Actuellement Serge Berger et Véronique Zévenne, gèrent la « Librairie de Péry ». A l’étage il y a eu la coiffeuse Nelly Jazz installée auparavant au 1 de la Rue de Temme.
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Au N° 20 Un commerce de chaussures, Mady CORNET, épouse de Victor PREVOT. Ensuite, ce sera Dominique CICCELLERO, épouse de Philippe PREVOT qui exploitera un magasin de vêtements pour enfants, « Au Clair de Lune ». Actuellement Serge BERGER et Véronique ZEVENNE, gèrent la « Librairie de Péry ». A l’étage il y a eu la coiffeuse Nelly JAZZ installée auparavant au 1 de la Rue de Temme.
  
  

Version du 10 octobre 2021 à 15:04

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Le bas de la rue Sauvenière: plan N° 1

Boulangerie Jean Guffens-Grégoire

Au N° 1 La construction porte une date : 1899. Boulangerie pâtisserie : Jean Lambert GUFFENS né le 28 avril 1863 à Bommershoven, boulanger à son mariage, épouse le 2 mai 1896 à Comblain au Pont, Marie Joseph ANTOINE née le 23 août 1862 à Comblain au Pont. Sur l'acte de mariage, il y a une erreur, comme date de naissance on écrit 23 avril 1862 !

Jean décède le 4 mai 1934 et Marie le 24 novembre 1941, tous deux à Ouffet.

Un de leur fils, Jean GUFFENS époux de Germaine Grégoire. Cacao Driessen. La maman de Jean GUFFENS, Marie ANTOINE, était modiste et avait sa vitrine du côté gauche de la maison. Au décès de Jean GUFFENS, ce sera un des fils, Alfred dit Freddy qui reprendra le commerce de ses parents.

Après la boulangerie, ce sera une agence de la CGER et depuis 2020, le bureau de poste.

Sur la photo : au centre Lambert GUFFENS, de chaque côté des ouvriers de la boulangerie et les deux garçons : Jean le fils boulanger ci-dessus et Georges agent d'affaires, voir commerces rue du Village à Ouffet.


Au N° 5 Construction de 1898 ou 1899. Les époux MEURA-LAMBERT puis leur fille :Louise MEURA, célibataire, ont exploité un petit bazar. A sa retraite, Melle MEURA louera le bâtiment à la chaîne de magasins épicerie et boucherie « La Vierge Noire » de Ciney qui changera d’enseigne, deviendra « Epécé » et s'installera à côté au N° 7 dans un nouveau bâtiment. Pol GILLET acquiert le N°5 en 1970 pour faire un commerce radio TV électro – ménagers et installations électriques. Le magasin fermera en 2005 mais les activités continueront jusqu'à la pension le 31.12.2013.

Au N° 7 Epicerie et boucherie « La Vierge Noire » puis « Epécé » puis plusieurs indépendants pour les mêmes commerces. Puis deux commerces de meubles se succèderont : « Wally Meubles » installé auparavant Rue Aux Oies 4 puis Christian SERET époux d’Andrée LECLERE qui exploite le commerce jusqu'au 30 avril 2018. Un salon de coiffure, s'installe en 2020.


Au N° 13 Une horlogerie bijouterie exploitée au départ par Maurice et Marcel MAGIS époux de Jeanne LEGROS. Ce dernier a ensuite continué seul le commerce, Maurice étant retourné dans le pays de Visé. Le beau-fils de Marcel, Denis GHIOT avec son épouse Ida MAGIS a repris les affaires avant de les céder à son fils Yves GHIOT époux de Jacqueline DELBEUCK.


Au N° 19 Andrée DEFRENE, épouse d’Albert CLEMENT. Son père, Eugène DEFRENE, aurait été le premier ou un des premiers gérants de l’agence de banque Société Générale de Belgique.
Celle-ci se muera en Fortis et ensuite en Paribas-Fortis avant de fermer ses portes en mars 2021. Le bâtiment est mis en vente en mai 2021 et vendu en octobre de la même année sans en connaître la nouvelle destination.



Le commerce des sœurs Magis



Au N° 23 Un commerce de vêtements, atelier de couture, mercerie. Le commerce est tenu par deux des quatre sœurs MAGIS, Irma et Laure épouse du maçon Raymond LACROIX. Le garde-champêtre Léon DAMOISEAUX, célibataire habitait également la maison. Raoul DESMEDT et son épouse y ont exploité un magasin Vetex repris de 1978 à 1979 par Annie BONHIVERS épouse de Pol Cornet. Ensuite, Claudy LEDOUIX et son épouse Greta DESMEDT ouvriront un restaurant puis ce sera la friterie « Le Colombage » exploitée par Willy TAENS. Gréta était auparavant installée comme fleuriste au N° 10 de la Chaussée de Huy. Le bâtiment sera transformé en appartements.


Au N° 25 Oscar LIGOT était menuisier, son atelier se situait Aux Avins. Son épouse, Jeanne WARNIER avait un commerce de fleurs (chrysanthèmes à la Toussaint). Marie-Louise THIRIFAYS épouse de Pierre MARSIN, a tenu un commerce de chaussures et vêtements pour enfants. Il y aura aussi le salon de coiffure « Art et Passion » qui fermera fin septembre 2016. A cette adresse, voir aussi la page en préparation « Ouffet, professions libérales ».


Entre le 25 et le 27 Désiré SPRUMONT, époux de Léonie BRAHY, maître de carrières et marbrier y avait ses ateliers. Trois tailleurs de pierres avaient chacun leur abri individuel que l’on peut encore voir aujourd’hui.


Au N° 27 La pharmacie François MOUCHETTE époux de Louise MAES. Au décès de François, Louise n’étant pas pharmacienne, l’officine a été gérée par le pharmacien XHENCEVAL de Plainevaux y compris lors de son déménagement Rue du Perron N° 8. En 1969, Michel PIRLOT époux d’Annie Walhin s’installe comme coiffeur avant d’emménager en 1972 au 5 de la Grand-Place.


Au N° 29 L’habitation de Désiré SPRUMONT né en 1871 et époux de Léonie BRAHY, Désiré était maître de carrières et gérait une marbrerie. Lui-même n’était pas tailleur de pierres mais il employait trois ouvriers dont c’était la spécialité. Son épouse Léonie exploitait un café dans la partie droite de la maison, à gauche, c’était quincaillerie, épicerie, aunage (Ce magasin était en fait un des nombreux magasins d’entreprise de la région, ce type de magasin a été à la base de nombreuses grèves). Le garage actuel abritait un jeu de quilles. Ensuite, Maurice LAMBIN, époux de Joséphine LHENEN, taxi, messagerie occupera les lieux. Ceux-ci sont maintenant occupés par leur fils Raymond époux de Migeot PIRLOT.


Au N° 31 Le café Eva Magis, son mari Joseph BELOT(tombe D318) était coiffeur et est décédé pendant l’évacuation. Ce sera ensuite la coiffeuse Clairette RIGA épouse d’Alexis BIHAY, puis Alain VAN’ACHT vendra des instruments de musique. Ensuite, le cordonnier Arile BREVERS domicilié à Vien Anthisnes, époux de Mireille POLET installera une première fois sa cordonnerie avant de la déménager au N° 43 un peu plus haut dans la rue. A cette adresse, voir aussi la page en préparation « Ouffet, professions libérales ».


Au N° 33 Alfred MARECHAL époux d’Irène MEDARD exploitait avec ses frères une carrière rue de Temme, voir Ouffet, carrières 45 et et 45/2.

Rue Sauvenière plan 1 de 2
Au pied de la rue Sauvenière, l'actuel n°2

Au N° 2 Une école des filles à partir du 10/1862 jusqu’au 10/1900. Puis le café restaurant Victor RASQUIN époux de Marie DENGIS. Ensuite une boucherie exploitée par un de ses , Ernest RASQUIN époux de Marguerite BEAUFRERE. Au décès de cette dernière, il épouse en secondes noces Paula PAYE elle-même veuve de Frans MARECHAL, boucher, qui était installé Rue Haïre 1. Ce sera ensuite la boucherie Justin ENGLEBERT « Le Petit Boucher » puis la boucherie « Au Bon Bœuf », Guy DUBOIS époux de Marie-Jeanne BRAQUET. Au décès de Guy, le boucher Thierry MIRGUET reprendra le commerce pour le céder quelques années plus tard au poissonnier traiteur Pascal SERVAIS époux de Dominique BONJEAN. Actuellement, la boucherie et traiteur Dominique HERMAN époux de Valérie NOEL.


Au N° 4 Nadine LAFONTAINE épouse de Marcel DUCHATEAU font construire fin des années 1970 une maison de commerce avec un appartement, la quincaillerie, « La Cadeauterie ». A la cessation du commerce, s'installe une librairie papeterie « La Maison du Papier » qui a également fermé. La surface commerciale restera inoccupée pendant plusieurs années. Le bâtiment est vendu en juin 2021 à un traiteur, en octobre 2021 les travaux sont en cours.


Au N° 8 Irène CLEMENT épouse d'Eli GENOT exploite une mercerie. Puis Marie-Louise THIRIFAYS, future épouse de Pierre MARSIN, tient un commerce de vêtements pour enfants, «  Au Nid d’Ange ». Ensuite, viendra la fleuriste Mireille DEGRAVE installée auparavant Chaussée de Huy, 10.


Au N° 10 L’habitation d’Adolphe CLEMENT, maître de carrières et entrepreneur routier.

L'emplacement des n°12 et 14 avant le bâtiment actuel

Aux N° 12 et 14 Dès 1938, produits pétroliers Purfina et un garage atelier mécanique exploités par Eli GENOT époux d’Irène CLEMENT. Par la suite, un commerce de meubles et articles cadeaux tenu par Carmen GENOT. Son époux André GUFFENS exerce le métier d’ébéniste dans un atelier à l’arrière du bâtiment avant de gérer la banque Record. Un de leur fils Emmanuel y exercera le même métier de 1986 à 1992 avant de s’installer à Seny.


N° 16 François ALBERT vendait et réparait les vélos, puis il y a eu un commerce de chaussures et ensuite le coiffeur Jules WATELET époux d’Yvonne JOUSTENNE et le bar « La Pergola ». Jules WATELET était précédemment installé Dans Les Cours 4. Il y a eu par après la coiffeuse Brigitte REMY qui a exercé jusqu’à son mariage avec le vétérinaire Bruno RENETTE. Ils ont emménagé par la suite Rue Brihi Tiyou, 16 et c’est une coiffeuse de Villers aux Tours, Pascale MACAUX, qui reprendra le salon.


Une publicité Mélotte


Au N° 18 Hubert WILMOTTE, marchand de grains et d’engrais (Tertre Auby), agent pour les machines à traire Mélotte. Publicité à la radio : j’ai de belles vaches dans mon étable et pour les traire chaque jour, j’ai la machine indispensable, une Mélotte pour toujours.


Au N° 20 Un commerce de chaussures, Mady CORNET, épouse de Victor PREVOT. Ensuite, ce sera Dominique CICCELLERO, épouse de Philippe PREVOT qui exploitera un magasin de vêtements pour enfants, « Au Clair de Lune ». Actuellement Serge BERGER et Véronique ZEVENNE, gèrent la « Librairie de Péry ». A l’étage il y a eu la coiffeuse Nelly JAZZ installée auparavant au 1 de la Rue de Temme.


Le haut de la rue Sauvenière: plan N° 2

Au N° 35 Jacqueline Dumont épouse de Francis Willems était couturière et avait un commerce de tissus. Est venu s’installer ensuite, un photographe de Barvaux/Ourthe, Roland Vanex. Catherine Tomballe épouse de Michel Guermant avait la gestion du magasin. Après environ quatre ans, suite à la maladie, monsieur Vanex a remis son commerce à Catherine qui l’a encore exploité cinq ans.


Au N° 41 Arrivés en 1904 à Ouffet, Antoine Gengoux ( né en 1867 à Vierset-Barse et décédé à Ouffet le 09.07.1960) et Marie-Josée Colette dite Odile (née à Bomal/Ourthe en 1870) exploitaient la « Friterie du Globe ». A leur décès, Alfred Grutman et son épouse Angèle Gengoux y ont installé leur épicerie située auparavant Grand-Place, 17. Au départ de ceux-ci, René Guermant époux de Gaby Maréchal s’est installé en tant que poêlier. Il avait son dépôt au 16 de l’autre côté de la rue, anciennement bar « La Pergola ». Ce sera ensuite le magasin de Marianne Guermant, fleuristerie et commerce de vêtements pour enfants. Elle aura, environ pendant un an, un dépôt de fleurs au funérarium Pol Laffut Chaussée de Huy 4, adresse où se trouvent actuellement deux appartements.


AU N° 45 Hubert Libermé époux de Bertha Harzimont a tenu un commerce de matériel électrique dans la partie gauche du bâtiment, quant à Bertha, dans la partie de droite, elle s’occupait d’une quincaillerie. René Libermé, époux de Belot Andrée a remplacé Hubert Libermé en s’installant comme horloger bijoutier. Ce sera ensuite Danielle Bourguignon épouse de Jean Gustine qui y fera commerce de laines « le Pingouin ». Ce même commerce sera ensuite repris par Tina Casérini épouse de Francis Delvaux. Actuellement, Caroline Marchal exploite la friterie « L’Instant Salé ». A cette adresse, voir aussi la page « Ouffet, professions libérales », en préparation.


Au N° 47 Joseph Harzimont a débuté son activité de garagiste en 1925, activité qu’il déplacera au N° 54-56 de la même rue dans une nouvelle construction.


Au N° 53 Dépôt Hubert Donis, époux de Juliette Dewarre. Grains, farines, engrais. A la cessation du commerce, l’entrepôt sera rasé pour faire place à la construction d’une moyenne surface, Nopri, GB, jusqu’à la fermeture en ???

Café, hôtel de la Gare, salle de spectacles

Au N° 57 Hôtel de la Gare, salle de spectacles. Association de deux des frères Harzimont, Joseph et Léon. Ce dernier se retirera par la suite. Il y a eu un cinéma, « Chez Gigi et Lily» et une succession de cafetiers ; le café Henry, Ginette et Yvette, le café Franquet, « Bobonne et Zorro » qui faisait également hôtel, celui-ci a été longuement occupé par les travailleurs français qui renforçaient la ligne à haute tension qui passe nord sud au-dessus du Troydo. Ce bâtiment et plusieurs autres ont été rasés en vue de l’aménagement d’une voie rapide pour la traversée d’Ouffet. Celle-ci ne sera jamais réalisée. Actuellement une station-service carburant et shop occupe l’emplacement.

Rue Sauvenière plan 2 de 2

Au N° 22 Oscar Legros époux d’Hélène Collard vend et répare les vélos. Il y a eu à cette adresse, un traiteur ??? Guerarts de 1989 à 1990, puis un glacier, Isabelle Lardot, pendant une période de une à trois années. Michèle Perin épouse Marcel Delise tiendra une librairie et articles de sport.


Au N° 26 Le coiffeur Armand Couman époux de Léonardine Vannerom dite Léona. Le couple emménagera par la suite au 42 de la Rue Sauvenière puis au 2 Es tô. C’est à ce même N° 26 que Georges Bueno exploitera une librairie. Il y aura ensuite un commerce de vêtements tenu par Michèle Deleuze. Actuellement, c’est le salon de coiffure « Tentation Amato » exploité par Giovanna Amato épouse de Jean-Philipe Vanspouwwen.

Commerce 02.71.jpg



Au N° 30 Ancien dépôt Hubert Donis, ensuite, à partir de 1945, un commerce de métaux (fer) avec Marcel Ledoux et atelier mécanique tenu par Eli Ledoux. Ils tenaient également un café et il y avait aussi une salle de danse avec un orgue de barbarie. Ensuite, ce sera le garage et carrosserie Roger Gauthier. Actuellement, la boulangerie pâtisserie « La Gourmandine » gérée par Bernard Valange et son épouse Carine Vanspouwen.


Au N° 34 Le « Brico Décor », Philippe Buet. Commerce fermé en ce début d'année 2018.


Au N° 36 Dans une nouvelle construction, une agence de banque CBC gérée par Jacques Rondelet. A cette adresse, voir aussi la page « Ouffet, professions libérales », en préparation.


Copie d'une facture ED. Warnier de 1896


Au N° 38 (ancien 371). Victor Joseph dit Edouard WARNIER né le 5 octobre 1846 aux Avins et décédé le 29 décembre 1887 à Ouffet est repris dans les registres comme échevin et négociant. Il est veuf en 1e noces d'Henriette SOURIS décédée le 6 avril 1874. Au décès de sa 1ère épouse Edouard WARNIER est repris comme agriculteur.

En 1876, il épouse à Ouffet Amélie PRIGNON née le 25 février 1850 à Evelette déclarée négociante industrielle. Au décès d'Edouard Warnier en 1887 Amélie Prignon continue les activités sous le nom de Veuve ED. WARNIER, voir copie facture ci-annexée.

Avant son remariage avec Edouard Warnier, Amélie Prignon était veuve de Jean Victor RANWEZ décédé le 12.02.1874 à Ouffet et renseigné comme pharmacien à Ouffet mais... Où ???

Habitera également à cet ancien 371, le barbier Constant Harzimont (on le cite aussi comme mécanicien en 1945) frère de Joseph et Léon. Ensuite une pharmacie tenue par un jeune couple dont nous ignorons les noms, son existence a été de seulement quelques mois.


Au N° 40 Une modiste, madame Nelly Lenoir et son époux, Nicolas Leimanis qui avait une entreprise de peintures. Le tailleur Charles Mouchette, puis et le coiffeur Jules Watelet, auparavant Dans les Cours, 4 a exercé peu de temps avant d’emménager au N° 16 de la même rue. Actuellement et depuis 1972, la pharmacie Rondelet. L’officine était auparavant installée Rue Sauvenière, 58.


Au N° 44 Le café J. Polet-Libois , probablement tenu par les beaux-parents de César Genot qui a habité à cette adresse avec son épouse Julia Polet. César était directeur à la boulangerie coopérative Rue des Pahys où il est décédé accidentellement.

A droite: le bureau des PTT et ensuite l'actuel N° 46: N. Walhin et ensuite Z. Noirfalize. A gauche (Texaco) le garage Harzimont, installation en 1925

Au N° 46 En 1931, Norbert Whalhin, peintre en bâtiment et époux de Marie Rixhon occupe les lieux jusqu'en 1934 avant de s'installer au 4 de la Grand-Place. Il sera remplacé par Zéphyr Noirfalize et Eva Delavignette, les époux avaient un commerce de fruits et légumes et épicerie. Leur fils Guy continuera le commerce. Ce sera ensuite un magasin de vêtements avec Laetitia Mignolet et une agence de tiercé, avant ou après Laeticia ?

Au N° 50 Le bureau des P.T.T. Poste Téléphone Télégraphe, Edmond PHILIPPART a été l’un des percepteurs, notamment pendant la guerre. Ensuite, ce sera la boucherie et friterie Ferdinand BURETTE et Eugénie (dite Ninie) PAULUS auparavant Rue de Temme 42. Nadine LEROY tiendra un commerce de chaussures qui sera repris par Eléonore TAGNON épouse de Christophe DEBOTZ. Actuellement, Christelle PERIN y exploite le salon de « Coiffure Zen ». A cette adresse, voir aussi la page « Ouffet, professions libérales », en préparation.


A droite: le garage J. HARZIMONT, à gauche le café HARZIMONT ou hôtel de la Gare...

Aux N° 54-56 Le garage Joseph HARZIMONT époux de Maria DENIS, produits pétroliers Caltex. Puis son fils Jacques époux de Mireille LEMAIRE, puis garage Jean-Marc DECROUPETTE, actuellement espace constitué d’appartements et commerce de restauration rapide Pita, Durum et Night Shop.


Au N° 58 Le pharmacien Georges RONDELET époux de Lucie CASSART. Installation en 1952 puis déménagement de l’officine Rue Sauvenière 40 en 1972. Ce sera ensuite un commerce de tissus tenu par Arlette WYNANT épouse de Roger DUBOIS, puis un magasin de vêtements pour bébé exploité par Chantal ??? épouse de Pierre Joly, puis un bureau de la Mutualité Chrétienne et peut-être de la CSC, puis un bureau de titres services tenu par deux gérants consécutifs dont Damien EVERAERT. Le cordonnier Alain MARECAUX époux de Fabienne BOUR y exercera son métier avant de s’installer Thier de l’Ovreux.


N° 13. Depuis 2016, installation d’un Night Shop.


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