Commerces Grand-Place Ouffet : Différence entre versions
Ligne 17 : | Ligne 17 : | ||
[[Fichier:PM0741.71.jpg|vignette|gauche|La Grand-Place aux environs de 1897-1900]] | [[Fichier:PM0741.71.jpg|vignette|gauche|La Grand-Place aux environs de 1897-1900]] | ||
− | Au N° 5 En 1972, le coiffeur Michel Pirlot et son épouse Annie Walhin quittent le 27 de la Rue Sauvenière pour s’installer Grand-Place, N°5 où Michel exercera sa profession jusqu'au 31 décembre 2022. Rattrapé par l'âge de la pension, après 53 années de bons et loyaux service | + | Au N° 5 En 1972, le coiffeur Michel Pirlot et son épouse Annie Walhin quittent le 27 de la Rue Sauvenière pour s’installer Grand-Place, N°5 où Michel exercera sa profession jusqu'au 31 décembre 2022. Rattrapé par l'âge de la pension, après 53 années de bons et loyaux service et coiffé trois générations d'Ouffetois, il range ses peignes et ciseaux. |
Version du 16 octobre 2024 à 16:51
Au N° 1 et 2 Bâtiment traditionnellement café, restaurant, hôtel et salle de spectacles.
Joseph Henrard et son épouse Virginie Chapelier sont à l'origine de ces activités.
Ensuite, ce sera Ferdinand Godelet époux de Mariette Pirson.
En 1960, Gaston Lucas, époux de Nelly Noville, leur fils Roger et Gaston Borsu, cousin de Nelly Noville.
Se succéderont s’en s’attarder Alex Verdin et Malou ... puis une personne d’origine roumaine sans plus de succès.
Stéphane Poncelet et Marie Legros occupent le bâtiment en 1999, d’importantes transformations seront réalisées, ce sera Le Carpe Diem. En plus des activités précitées, ils transforment une partie des bâtiments en appartements et gîtes.
On ne peut passer sous silence la salle de spectacle, déclarée hors normes en 1975 par les pompiers de Hamoir elle sera désaffectée et inclue dans les transformations.
Durant l’exploitation de l’immeuble par Henrard, Godelet et Lucas-Borsu, la salle de trois cents places accueillera chaque année de 1954 à 1974, de 1000 à 2000 spectateurs et parfois plus, venus assister aux représentations de la Société Royale Sainte-Cécile d’Ouffet (Voir https://www.youtube.com/watch?v=vikOpwuB1eQ). Les représentations, appelées revues, gardaient l’affiche de huit à douze fois, samedis et dimanches. De la fin de l'hiver au début du printemps, la salle était pratiquement toujours comble.
Au N° 4 Droguerie Walhin Norbert époux de Rixhon Marie. Cette dernière gérait le commerce avec sa sœur Tavie. Le magasin sera fermé en 1975. Norbert s’occupait de l’entreprise de peinture et ce, jusqu’en 1963. Gilbert a repris l’activité à son compte jusqu’au 31.08.1967. Puis ce fut l’association de fait Walhin frères, Gilbert et Freddy, jusqu’au 30.03.1977. Paul Walhin reprend alors l’entreprise avec le siège social et l’atelier à Liège.
Au N° 5 En 1972, le coiffeur Michel Pirlot et son épouse Annie Walhin quittent le 27 de la Rue Sauvenière pour s’installer Grand-Place, N°5 où Michel exercera sa profession jusqu'au 31 décembre 2022. Rattrapé par l'âge de la pension, après 53 années de bons et loyaux service et coiffé trois générations d'Ouffetois, il range ses peignes et ciseaux.
Au N°9 André Prévot époux de Lucille Fallais, ils ouvriront le restaurant "La Gibecière". Avant 1960, le tailleur d'habits sourd et muet, Emile Dawance habitera également dans cette maison avant de déménager Rue du Perron N° 29. A cette adresse, voir aussi la page "Ouffet, professions libérales", en préparation.
Au N° 10 La boulangerie Henri Gruslin époux d’Alice Devillers, ils s’expatrieront au Canada. Venant de Seraing en 1950, Lucien Van’Acht et Julia Lievens reprennent l’activité. Leur fille Simone, épouse de Justin Englebert continuera l'activité. Actuellement, en 2017, c'est la petite fille, Astrid, qui gère l'atelier de boulangerie et patisserie.
Au N° 11 Hubert Gruslin époux de Joséphine Henry était instituteur à Sprimont. Il mettra sur pied un bureau d’assurances et sera élu bourgmestre d’Ouffet de ??? à ???
Au N° 12 Charles Duchesne époux de Marie Marchal exerça le métier de maréchal ferrant. Son père Emile Duchesne était garde forestier à Jenneret. L’atelier fermé, c’est René Médard, un courtier en grains pour une firme de Merksem qui prend possession des lieux en ??? C'est maintenant une habitation privée.
AU N° 13 Fernand Vilenne exerça le métier de cordonnier. Son épouse, Rixhon Julienne, s’occupa du commerce de chaussures. Depuis, il n’y a plus eu de commerce à cette adresse.
Au N° 14 Salon de coiffure de Claire Mouchette jusqu’en 2007. Auparavant, Claire était installée au 10 de la Rue du Perron. Il n’y a plus eu de commerce au n° 14 de la Grand-Place.
Au N° 16 De 1967 à 2007, le peintre Pol Cornet époux d’Anne-Marie Bonhivers.
Au N° 17 Les époux Alfred Grutman et Angèle Gengoux exploiteront une épicerie pour la déménager par la suite Rue Sauvenière 43 en ??? A cette adresse, voir aussi la page "Ouffet, professions libérales", en préparation.
Un marché public se tenait sur la Grand-Place tous les jeudis. Il a eu beaucoup de succès et a perduré jusqu’en 1945.
Il a connu un nouveau départ en 1970, tous les vendredis. Il ne subsistera hélas pas plus de deux ans.
Des foires aux chevaux (Herd Book) et bestiaux avaient régulièrement lieu sur la Grand-Place jusqu’en 1947 ou 1948, elles se sont ensuite tenues au carrefour de Tinlot.
Retour aux _____ Commerces et artisanats Ouffet _____ ou aux _____ Rues, lieux-dits, curiosités Ouffet _____ ou aux _____Passeurs de Mémoire