Ouffet, Magis Gillard
Dès 1850, entre les actuels numéros 23 et 25 de la rue du Village, François-Joseph Magis époux d'Hubertine Gillard exerce la métier de forgeron en compagnie de son fils également prénommé François-Joseph mais dit Eugène époux en premières noces (il se mariera trois fois) de Marie-Thérèse Jaspar.
Eugène Magis travaillera jusqu'en 1905 en association avec son beau-frère, Lambert Degive (le père du docteur Degive), ce dernier ayant épousé la soeur d'Eugène, Marie Magis.
Eugène Magis, veuf de Marie-Thérèse Jaspar en 1878, épousera en 1879 en deuxième noce Marie-Thérèse Fiacre avec qui il aura un fils, Fernand Magis né en 1880, demi-frère d'Emile Magis dit Joseph dont il est question au dernier paragraphe.
L'association Eugène Magis et Lambert Degive prendra fin en 1905, date à laquelle Eugène Magis et son fils Fernand marié en 1904 à Marie Legros, exerceront toujours le métier de forgeron rue des Pahys mais dans une forge qui était accolée à gauche du N°6 anciennement école des filles et dont nous ne possédons pas de photo. Ils habitaient au N° 4 de la même rue.
Fernand Magis et son épouse Marie Legros quitteront Ouffet en 1938 pour aller à Fontin (Esneux).
Lambert Degive continuera a exercer son métier derrière chez lui à l'actuel numéro 41 de la rue du Village.
Entretemps, Eugène Magis, veuf pour la seconde fois, épouse Marie-Jeanne Sauvage dite Florentine. Ils auront un fils né en 1888, Emile Magis dit Joseph. Passionné de mécanique, Joseph exploitera un atelier de réparations automobiles automobiles à partir de 1907 à Ouffet mais nous ignorons où mais très probablement à cette adresse de la rue des Pahys. Nous manquons encore de précisions mais il fera un parcours inattendu qui le conduira jusqu'en Amérique, tranche de vie qui fera l'objet d'un article séparé dès que nous aurons rassemblé les éléments.
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